Antoine Galland - Gisbert Cuper - 1709-8-29

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Antoine Galland, Paris

Antoine Galland - Gisbert Cuper - 1709-8-29
FINA IDUnique ID of the page  5642
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Antoine Galland
RecipientRecipient of the correspondence. Gisbert Cuper
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . August 29, 1709
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 24.12" N, 2° 21' 5.26" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation.
LiteratureReference to literature. Abdel-Halim 1964, p. 609-611, n° CCLXXXVIII1
KeywordNumismatic Keywords  Arabic , Samaritan , Hebrew , Philology
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 29 août 1709 (de Paris) : « Je m’étais attendu à l’honnêteté et au compliment que vous me faîtes, sur la charge de professeur royal, dont le roi m’a honoré, par la bonté, l’amitié et la bienveillance, dont vous me donnez des témoignages depuis si longtemps. Je ressens très vivement l’honneur de me voir membre d’un corps si célèbre de professeurs, et c’est du cœur que j’ai parlé, quand je m’en suis expliqué dans mon remerciement au roi. C’est à moi de marcher sur leurs pas et de faire tous les efforts, pour atteindre à quelque partie de la gloire qu’ils se sont acquise » ; « M. Simn, dont le mérite et la capacité ne doit pas vous être inconnu, vient de publier une Bibliothèque critique, en 2 vol. in-12°, dans laquelle, entre autre choses, il traite aussi des caractères samaritains, et hébreux. Mais, quelque habile qu’il soit en cette matière, il fait voir qu’il n’a ni manié, ni examiné, aucune des médailles que nous avons avec des caractères samaritains. Il ne fait que suivre ce qu’il en a lu dans plusieurs auteurs » ; « Ne craignez pas que la langue arabe, ni tout ce qui vient à sa suite, soit capable de me faire négliger les médailles. Je puis dire qu’il y a bientôt cinquante ans que je me suis partagé entre l’une et l’autre étude, et même des autres langues orientales, et que je continuerai le reste de mes jours à leur conserver la même égalité » (Abdel Halim, p. 609-611, n° CCLXXXVIII).

References

  1. ^  Abdel-Halim, M. (1964), Antoine Galland, sa vie et son œuvre, Paris.