Antonio Epis - Jean Le Clerc - 1722-4-9

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Antonio Epis, Bucharest

Antonio Epis - Jean Le Clerc - 1722-4-9
FINA IDUnique ID of the page  4707
InstitutionName of Institution. Amsterdam, Universiteitsbibliotheek
InventoryInventory number. Ms. R.K., K 41 i
AuthorAuthor of the document. Antonio Epis
RecipientRecipient of the correspondence. Jean Le Clerc
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . April 9, 1722
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Bucharest 44° 26' 10.10" N, 26° 6' 9.79" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation.
LiteratureReference to literature. Grazia - Sina 1987-1997, IV [1719-1732], lettre n° 713, p. 1581
KeywordNumismatic Keywords  Greek , Ainos , Legend , Paleography , Alphabet , Thrace
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 9 avril 1722 (de Bucarest) : « Nous avons acquis dernièrement une médaille d’argent, laquelle nous croyons être rare, à cause que nous ne la trouvons en aucun des index des médailles parmi les auteurs que nous avons ici sur cette matière. Il y a d’un côté la tête, à ce qui nous semble, de Diane, et de l’autre côté une chèvre et du dictame, avec ce mot : ainiou écrit avec o et non avec . Peut-être que Diane, qu’on appelle aussi ς a été honorée par ceux de ce port là par cette médaille. Faites-moi la grâce de nous dire ce que vous en pensez. Si cette médaille aurait tombée dans les mains de quelqu’un de ces auteurs qui ont écrit de re nummaria, on n’aurait peut-être point fait de difficulté de nous la donner avec l’, croyant que c’a été la faute du monnayeur, que d’y avoir mis l’o à la palce de l’. Mais à notre avis il ne faut faire des pareilles corrections, qu’avec bien de (la) réflexion). Car ceux qui nous donnaient anciennement ces médailles, n’avaient pas égard à l’ortographe grecque, qu’on écrivait de leur temps, mais à celle qui était la plus ancienne. Car quoique selon divers temps on y ait fait quelque changement, on avait toutefois tant de vénération pour la première, et la plus ancienne, qu’on croyait qu’il était plus assuré de se servir de celle-ci, que de l’autre en la conservant dans les médailles, qu’on voulait faire passer à la postérité » (Amsterdam, Ms. R.K., K 41 i ; Jean Le Clerc, Epistolario, IV [1719-1732], 1997, lettre n° 713, p. 158).

References

  1. ^  Grazia, Maria and Mario Sina (eds.) (1987), Jean Le Clerc, Epistolario, 1 (1679-1689), Florence.