Lettre sans date ( ?) : s’intéresse à l’acquisition du cabinet du président de Pontcarré ; à propos du médaillier de Le Bret après sa mort : « Je serais charmé de pouvoir examiner à loisir la fameuse collection de M. Le Bret. Quelque soit le dessein de celui qui la possède aujourd’hui, je l’approuve d’avance, pourvu qu’il ne soit point à faire passer son trésor en pays étranger. D’ailleurs, j’ai peine à croire qu’il y trouva des marchands, car je n’en connais ni en Angleterre, ni en Hollande et le nombre des curieux est même si diminué en France que je ne sais s’il serait fort aisé d’y vendre un cabinet si considérable, en cas que le roi n’en fit point l’acquisition » (Paris, BnF, Mss. N. ac. Fran. 4384, f° 32 ; Sarmant 2003, p. 201, note 33 et p. 202, note 38).