Charles de Fériol - Bernard de Montfaucon - 1709-5-27

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Charles de Fériol, Versailles

Charles de Fériol - Bernard de Montfaucon - 1709-5-27
FINA IDUnique ID of the page  5155
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Fonds français 17712, f° 115
AuthorAuthor of the document. Charles de Fériol
RecipientRecipient of the correspondence. Bernard de Montfaucon
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . May 27, 1709
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Versailles 48° 48' 12.74" N, 2° 7' 36.08" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation.
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Greek , Paleography , Roman Provincial
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b105087331/f242.image
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 27 mai 1709 (de Versailles) : « Je vous envoie mon révérend père une médaille qui est tombée entre les mains de madame, et quelle a reconnu d’abord pour être moulée, vous en conviendrez sans doute vous-même au moment que vous la verrez. Cependant comme elle ne peut avoir été jetée, sur un original antique, que j’avoue ne connaître point du tout, Madame a jugé à propos de vous l’envoyer mon révérend père, pour avoir votre sentiment là-dessus. Le fond que je sais sur votre grande érudition pour tout ce qui regarde l’antique, et la connaissance parfaite de la langue grecque, me fait espérer que vous pourrez déchiffrer la signification des caractères de cette médaille. Elle me paraît du côté de la tête, dans le goût romain, et du temps d’Élagabale ou d’Alexandre Sévère. Voilà tout ce que j’en peux dire, au reste comme je suis persuadé que vous vous ferez un fort grand plaisir par rapport à Madame, de me marquer en cette occasion ce que vous pensez sur cette médaille, je n’ai fait nulle façon de vous / en supplier moi-même ; continuez-moi je vous prie votre bonne amitié et rendez-moi toujours la justice de croire qu’on ne saurait être plus parfaitement que je suis… » (Paris, BnF, Fonds français 17712, f° 115).