-Lettre du 5 février 1720 ( ?) : « Je n’étais pas à Paris, Monsieur, quand le pauvre M. Simon y est mort ; j’étais à Rouen où des affaires domestiques m’avaient appelé, et à mon retour, je fus également surpris d’apprendre cette nouvelle et celle de ma nomination à la place d’un ami aussi respectable. Je serais bien heureux si j’avais les talents nécessaires pour le remplacer dignement et pour répondre à tous les sentiments dont vous m’honorez ; j’ai beaucoup d’envie de les justifier, et me flatte que cela suffit » (Paris, BnF, Man., Nouv. Acq. fr. 11636, f° 237 ; Sarmant 1994, p. 94, note 9).