Lettre sans date ( ?) : sur l’achat de la collection Pellerin : « J’ai toujours dit que ce cabinet porterait à un très haut point de perfection celui du roi ; j’ai dit que l’acquistion en serait infiniment utile, mais je n’ai jamais eu occasion de m’expliquer sur le prix ; j’observai seulement une fois à M. de Malesherbes qu’après avoir vu le roi d’Espagne donner quatre-vingt mille livres d’une suite de médailles d’argent, estimée en France quarante mille livres, je ne serais pas surpris que quelque puissance étrangère offrit les cent mille écus que M. Pellerin demandait du sien » (Sarmant 1994, p. 138, note 23).