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| {{Correspondence | | {{Correspondence |
| |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France | | |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France |
| |Inventory=Manuscrits, Français 15186, f° 51r | | |Inventory=Ms. Fonds français 15186, f° 51r |
| |Author=Civille | | |Author=Civille |
| |Recipient=Claude Picard Duvau | | |Recipient=Claude Picard Duvau |
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| |Associated persons=Jean-René de Longueil; Louis XV of France | | |Associated persons=Jean-René de Longueil; Louis XV of France |
| |Numismatic keyword=Collection | | |Numismatic keyword=Collection |
| | |CorrespondenceLanguage=French |
| |Grand document=Lettre du 18 janvier 1731 () : « (Je) n’ai appris que d’hier au soir, Monsieur, et très vénérable ami, que vous étiez d’accord au sujet des ( ?) médailles de Mr le Président de Maison, et j’aurais ( ?) sur le champ pour vous en marquer ma joie. ( ?) l’on m’a dit que vous êtes en retraite pour quitter ( ?). Si vous connaisiez mon attachment pour vous, vous ( ?) que je suis plus sensible que personne à l’augmentation de votre trésor. Je ne sais même si je ne vous dispute à vous-même la satisfaction que vous ( ?) quand votre retraite sera finie, je vous demande la permission d’aller repaîre de mes yeux, tout ignares qu’ils sont, afin de voir la plus belle suite d’or qui soit peut-être en France après celle du Roi. Je suis de tout mon cœur, Monsieur, votre fidèle et joyeux serviteur » (Paris, BnF, Manuscrits, Français 15186, f° 51r). | | |Grand document=Lettre du 18 janvier 1731 () : « (Je) n’ai appris que d’hier au soir, Monsieur, et très vénérable ami, que vous étiez d’accord au sujet des ( ?) médailles de Mr le Président de Maison, et j’aurais ( ?) sur le champ pour vous en marquer ma joie. ( ?) l’on m’a dit que vous êtes en retraite pour quitter ( ?). Si vous connaisiez mon attachment pour vous, vous ( ?) que je suis plus sensible que personne à l’augmentation de votre trésor. Je ne sais même si je ne vous dispute à vous-même la satisfaction que vous ( ?) quand votre retraite sera finie, je vous demande la permission d’aller repaîre de mes yeux, tout ignares qu’ils sont, afin de voir la plus belle suite d’or qui soit peut-être en France après celle du Roi. Je suis de tout mon cœur, Monsieur, votre fidèle et joyeux serviteur » (Paris, BnF, Manuscrits, Français 15186, f° 51r). |
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