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| {{Correspondence | | {{Correspondence |
| |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France | | |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France |
| |Inventory=Manuscrits, Français 15185, f° 124 et 125r | | |Inventory=Ms. Fonds français 15185, f° 124 et 125r |
| |Author=François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire | | |Author=François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire |
| |Recipient=Claude Picard Duvau | | |Recipient=Claude Picard Duvau |
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| |Place=Montpellier | | |Place=Montpellier |
| |Coordinates=43.61124, 3.87673 | | |Coordinates=43.61124, 3.87673 |
| |Associated persons=Jean-René de Longueil; Bernardo Sterbini | | |Associated persons=Bernardo Sterbini; Jean-René de Longueil |
| |Literature=Sarmant 1994, p. 656, note 34; Sarmant 2003, p. 160. | | |Literature=Sarmant 1994, p. 656, note 34; Sarmant 2003, p. 160; Rambach 2023, p. 25, note 24 |
| |Numismatic keyword=market; sale; collection | | |Numismatic keyword=market; sale; collection |
| |CorrespondenceLanguage=French | | |CorrespondenceLanguage=French |
| |Grand document=Lettre du 23 juillet 1732 (de Montpellier) : à propos du décès du président de Maisons « Cette mort m’a frappée et m’a dégoûté des médailles, puisque je vois qu’on vend en détail, et bien moins cher que cela n’a coûté à cet illustre président, ses médailles. Les hommes vivent si peu qu’ils ne doivent songer qu’à Dieu, tout le reste est périssable et périra. Après de pareilles réflections, je ne cherche qu’à me défaire de mes médalles, bien loin d’acquérir, et si vous saviez quelqu’un qui voulût acheter mon cabinet, je le vendrais » ; dit de Sterbini qu’il est « sujet à donner des pasticci » (Paris, BnF, Manuscrits, Français 15185, f° 124 et 125r ; Sarmant 1994, p. 656, note 34 et 2003, p. 160, note 34, p. 290, note 92). | | |Grand document=Lettre du 23 juillet 1732 (de Montpellier) : à propos du décès du président de Maisons « Cette mort m’a frappée et m’a dégoûté des médailles, puisque je vois qu’on vend en détail, et bien moins cher que cela n’a coûté à cet illustre président, ses médailles. Les hommes vivent si peu qu’ils ne doivent songer qu’à Dieu, tout le reste est périssable et périra. Après de pareilles réflections, je ne cherche qu’à me défaire de mes médalles, bien loin d’acquérir, et si vous saviez quelqu’un qui voulût acheter mon cabinet, je le vendrais » ; dit de Sterbini qu’il est « sujet à donner des pasticci » (Paris, BnF, Manuscrits, Français 15185, f° 124 et 125r ; Sarmant 1994, p. 656, note 34 et 2003, p. 160, note 34, p. 290, note 92; Rambach 2023, p. 25, note 24). |
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