Jean-Baptiste Souciet - Etienne Souciet - 1732-10-26

From Fina Wiki
Revision as of 14:52, 10 June 2020 by FDeCallatay (talk | contribs)


Jean-Baptiste Souciet, Thessaloniki

Jean-Baptiste Souciet - Etienne Souciet - 1732-10-26
FINA IDUnique ID of the page  9271
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Jean-Baptiste Souciet
RecipientRecipient of the correspondence. Etienne Souciet
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . October 26, 1732
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Thessaloniki 40° 38' 25.15" N, 22° 56' 6.97" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Gaspard de Péleran, Pierre Blouet de Camilly, Jean Guérin
LiteratureReference to literature. Omont 1902, p. 7361
KeywordNumismatic Keywords  Smyrna , Coin Price , Alep
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
Map
Loading map...
You can move or zoom the map to explore other correspondence!
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Le 26 octobre 1732 (de Salonique) : « M. le chevalier de Camilly n'auroit pas trouvé ici beaucoup de médailles mais j'ai ouï dire qu'il en avoit eu à Smirne de belles et à bon compte ; voici comment. M. Pelleran, nouveau consul françois de Smirne, avoit apporté d'Alep des médailles rares; pour en connoître le prix, il les fit voir à un M. Guerin, qui s'y connoit, et qui a même, je pense, obtenu le titre d'antiquaire du Roi. Peu de temps après, M. de Camilly cherchant des médailles, le sieur Guérin, qui étoit bien aise de lui faire plaisir, et qui avoit ses vues, lui décela les médailles du consul, qui ne put les refuser au chevalier de Camilly, lequel ne les paya, dit-on, qu’aun poids. Le sieur Guérin s’étant encore brouillé pour un autre sujet avec son consul, et de plus s'étant marié à Smirne à une Chiotte, sans attendre la permission que M. le chevalier de Camilly lui avoit fait espérer, il est passé en France et a été aussitost à Paris; le capucin qui l’avait marié y a aussi été renvoyé par M. l'ambassadeur » (Bibl. Des Pères Jésuites, Levant, 5 ; Omont 1902, p. 736).

References

  1. ^  Omont, Henri (1902), Missions archéologiques françaises en Orient au xviie et xviiie siècles, Paris, Imprimerie nationale.