| |Literature=Hessels 1887, no. 327, p. 767-768; Scheller 1978, p. 39 et 64, note 91; Callataÿ 2017, p. 115, n° 153. | | |Literature=Occo 1579; Hessels 1887, no. 327, p. 767-768; Scheller 1978, p. 39 et 64, note 91; Callataÿ 2017, p. 115, n° 153. |
| |Grand document=8 Oct. 1602 (from Antwerp): “Monsieur, La vôtre m’est été très agréable, et semblablement les médailles, Julia Porta et Aquila étaient plus belles que celles que j’avais, de sorte que je le ai mi en mes séries, celle de cuivre sont assez nettes, mais comme je ne mets qu’une ou deux de chaque emepreur de ces petits, je me passerai des miens qui me plaisent plus ; cependant je les changerai avec des autres comme j’ai fait d’une laquelle vous envoie qui est un Probus avec un revers très rare, lequel Occo n’a jamais vu, mais je ne puis deviner l’inscription : isciu Probi Aug. Je vous ai écrit par ma dernière que je me commence oblecter en pierres ou gemmes antiques taillées, en cas que vous en trouviez à vendre vous prie de me l’avertir et ensemble le prix. Je voudrais bien par occasion savoir vos médailles, en telle manière comme je vous ai écrit les médailles de feu notre révérendissime (Torrentius), car celles que m’avez envoyées est seulement l’ordre des aisselles sans déclarer combien des rares, ni les revers rares. De vos consulaires j’en ai assez bonne note, mais ne se présente rien pour acheter. Monsieur Billod en a assez qu’il en a deux fois, mais les estime à trop haut prix et ne veut vendre qu’une grande partie ensemble ou changer avec des autres qui lui manquent” (Leiden, Universiteitsbibliotheek Leiden, MS BPL 2755; Hessels 1887, no. 327, p. 767-768; Scheller 1978, p. 39 et 64, note 91). | | |Grand document=8 Oct. 1602 (from Antwerp): “Monsieur, La vôtre m’est été très agréable, et semblablement les médailles, Julia Porta et Aquila étaient plus belles que celles que j’avais, de sorte que je le ai mi en mes séries, celle de cuivre sont assez nettes, mais comme je ne mets qu’une ou deux de chaque emepreur de ces petits, je me passerai des miens qui me plaisent plus ; cependant je les changerai avec des autres comme j’ai fait d’une laquelle vous envoie qui est un Probus avec un revers très rare, lequel Occo n’a jamais vu, mais je ne puis deviner l’inscription : isciu Probi Aug. Je vous ai écrit par ma dernière que je me commence oblecter en pierres ou gemmes antiques taillées, en cas que vous en trouviez à vendre vous prie de me l’avertir et ensemble le prix. Je voudrais bien par occasion savoir vos médailles, en telle manière comme je vous ai écrit les médailles de feu notre révérendissime (Torrentius), car celles que m’avez envoyées est seulement l’ordre des aisselles sans déclarer combien des rares, ni les revers rares. De vos consulaires j’en ai assez bonne note, mais ne se présente rien pour acheter. Monsieur Billod en a assez qu’il en a deux fois, mais les estime à trop haut prix et ne veut vendre qu’une grande partie ensemble ou changer avec des autres qui lui manquent” (Leiden, Universiteitsbibliotheek Leiden, MS BPL 2755; Hessels 1887, no. 327, p. 767-768; Scheller 1978, p. 39 et 64, note 91). |