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| {{Correspondence | | {{Correspondence |
| |Institution=Montpellier, Bibliothèque de l’Ecole de Médecine | | |Institution=Montpellier, Bibliothèque de l’Ecole de Médecine |
| |Inventory=Ms. H 271, f° 74 | | |Inventory=Ms. H 271, fol. 74 |
| |Author=Nicolas-Claude Fabri de Peiresc | | |Author=Nicolas-Claude Fabri de Peiresc |
| |Recipient=Claude Ménestrier | | |Recipient=Claude Ménestrier |
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| |Coordinates=43.24525, 6.00029 | | |Coordinates=43.24525, 6.00029 |
| |Associated persons=Claude Dupuy | | |Associated persons=Claude Dupuy |
| |Literature=Tamizey de Larroque 1894, V, lettre XLII, p. 599-601 | | |Literature=Tamizey de Larroque 1894 vol. 5, lettre XLII, p. 599-601 |
| |Numismatic keyword=coin casts; roman; exchange | | |Numismatic keyword=coin casts; roman; exchange |
| |CorrespondenceLanguage=French | | |CorrespondenceLanguage=French |
| |Link=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62631048/f615.item.r=claude_menestrier_correspondance | | |Link=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62631048/f615.item.r=claude_menestrier_correspondance |
| |Grand document=-Lettre du 5 août 1632 (de Belgentier) : « Je vous envoye par même moyen les lettres que vous aviez desirées de moi tant pour Monsr du Puy que pour Monsr Aubery, y en ayant ajouté trois autres pour Avignon, addressées à Messieurs Suarez, de Mondevergues et le prieur du Barroux, et une quatrème pour Monsr de Liergues de Lyon, accompagnées de deux ou trois médailles que je lui envoye, que je voudrais bien se trouver de son goût et en pouvoir rencontrer d’autres plus dignes de sa curiosité. Si par hasard il vous remettait quelques empreintes pour moi et qu’il trouvât bon que je visse les originaux de quelqu’une de ces pièces, que vous pourriez juger être de mon goût, il ne faudrait que les faire remettre à Lyon entre les mains de Monsr Roy, l’un des plus célèbres marchands de Lyon, avec charge de les addresser à Marseille à Mr de Gastines qui prendra le soin de me les faire tenir ici ou lettres ou autres choses. Votre départ me surprit si fort que j’oubliai une infinité de choses que j’eusse été bien aise de vous montrer tant de votre curiosité que de la mienne. Vous verrez un petit mémoire que j’ai dressé en un petit papier ci-joint de certaines médailles du Bas-Empire que je serais bien aise de recouvrer par votre moyen si vous en trouviez à vendre ou à troquer, en quoi je me dispense tant plus librement par ce que je vois que vous êtes en possession de rencontrer et de me faire avoir quasi toutes les choses que je vous ai demandées pour rares qu’elles fussent, tant vous êtes heureux toutes et quantes fois que vous voulez obliger vos amis et serviteurs » (Montpellier, Bibliothèque de l’École de Médecine, Ms. H 271, f° 74 ; Tamizey de Larroque 1894, V, lettre XLII, p. 599-601). | | |Grand document=Lettre du 5 août 1632 (de Belgentier, à Marseille), p. 600-601: "Je vous envoye par même moyen les lettres que vous aviez desirées de moi tant pour Monsr du Puy que pour Monsr Aubery, y en ayant ajouté trois autres pour Avignon, addressées à Messieurs Suarez, de Mondevergues et le prieur du Barroux, et une quatrème pour Monsr de Liergues de Lyon, accompagnées de deux ou trois médailles que je lui envoye, que je voudrais bien se trouver de son goût et en pouvoir rencontrer d’autres plus dignes de sa curiosité. Si par hasard il vous remettait quelques empreintes pour moi et qu’il trouvât bon que je visse les originaux de quelqu’une de ces pièces, que vous pourriez juger être de mon goût, il ne faudrait que les faire remettre à Lyon entre les mains de Monsr Roy, l’un des plus célèbres marchands de Lyon, avec charge de les addresser à Marseille à Mr de Gastines qui prendra le soin de me les faire tenir ici ou lettres ou autres choses. Votre départ me surprit si fort que j’oubliai une infinité de choses que j’eusse été bien aise de vous montrer tant de votre curiosité que de la mienne. Vous verrez un petit mémoire que j’ai dressé en un petit papier ci-joint de certaines médailles du Bas-Empire que je serais bien aise de recouvrer par votre moyen si vous en trouviez à vendre ou à troquer, en quoi je me dispense tant plus librement par ce que je vois que vous êtes en possession de rencontrer et de me faire avoir quasi toutes les choses que je vous ai demandées pour rares qu’elles fussent, tant vous êtes heureux toutes et quantes fois que vous voulez obliger vos amis et serviteurs" (Montpellier, Bibliothèque de l’École de Médecine, Ms. H 271, fol. 74; Tamizey de Larroque 1894 vol. 5, lettre XLII, p. 599-601). |
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