Adelheid Amalia von Schmettau - François Hemsterhuis - 1783-3-14

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Adelheid Amalia von Schmettau, Münster

Adelheid Amalia von Schmettau - François Hemsterhuis - 1783-3-14
FINA IDUnique ID of the page  8849
InstitutionName of Institution. Münster, Universitäts- und Landesbibliothek
InventoryInventory number. Gallitzin-Nachlaß Band 2 & Band 3
AuthorAuthor of the document. Adelheid Amalia von Schmettau
RecipientRecipient of the correspondence. François Hemsterhuis
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . March 14, 1783
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Münster 51° 57' 45.04" N, 7° 37' 30.68" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Philipp von Stosch
LiteratureReference to literature. Sluis 2015, lettre II.19, p. 149-1501
KeywordNumismatic Keywords  Catalogue , Collection Sale , Gems , Sulphur Cast , Sulphur Casts Price
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.rug.nl/library/heritage/hemsterhuis/brieven
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 14 mars 1783 (de Münster) : « Voici un catalogue de feu Stosch qu’il faut me renvoyer avec le retour du courier. Lisez y seulement les articles derniers concernant les souffres. Une collection d’environ 20.000 des plus beaux cabinets que Mr. de Furstenberg auroit envie d’acquerir pour l’academie d’ici, et il vous prie de nous dire tout d’abord jusqu’où on peut aller pour le prix. Et puis le tout dernier article des pierres gravés. Vous en connoissez quelques unes, dites moi sur lesquels il faut mettre un prix et quel prix. Il y a au reste come vous verrez une collection superbe de desseins, gravures, portraits etc. etc., mais tous cela se vendra collectivement, il n’y faut pas penser. Nous serons trop heureux d’attrapper les souffres pour l’Academie, et si vous les jugez bonnes, quelques pierres gravés si on peut les avoir pour un prix tolerable. Si je n’avois point d’enfans, ou plutot si je n’avois point de compte à vendre, je vendrai je crois ma maison pour acquerir moi ces souffres, et aussi car ces choses vaillent plus aux enfans meme que 1000 ecus, qui de pauvres gens n’en font pas des gens riche. De grace renvoyez nous tout de suite le catalogue; nous n’avons que celui là, et la vente se fait le mois prochain.». (Universitäts- und Landesbibliothek Münster, Universitäts- und Landesbibliothek Münster, Gallitzin-Nachlaß Band 2 & Band 3 ; Sluis 2015, lettre II.19, p. 149-150).

References

  1. ^  Sluis, Jacob van (2015), Lettres de Diotime à François Hemsterhuis tome II: 1782-1784, Hemsterhusiana, volume 15, Berltsum - Van Sluis