Félix Cary - Claude Picard Duvau - 1731-9-21
FINA IDUnique ID of the page ᵖ | 2373 |
InstitutionName of Institution. | Paris, Bibliothèque nationale de France |
InventoryInventory number. | Manuscrits Français 15185, f°72r et v |
AuthorAuthor of the document. | Félix Cary |
RecipientRecipient of the correspondence. | Claude Picard Duvau |
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . | September 21, 1731 |
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. | Marseille 43° 17' 46.21" N, 5° 22' 11.82" E |
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. | |
LiteratureReference to literature. | |
KeywordNumismatic Keywords ᵖ | roman, gratianus, trajan, exchange |
LanguageLanguage of the correspondence | French |
LinkLink to external information, e.g. Wikpedia | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065154d/f75.item.r=15185%20Duvau.zoom |
Lettre du 21 sept. 1731 (de Marseille) : « J’ai cru en vous envoyant mon petit Gratien qu’il pouvait être mis à côté de votre médaillon de Trajan ; les médaillons d’argent de cet empereursont très communs ; j’ai déjà le même en cos. Prés. et j’en ai vu en outre une infinité de semblables. Mais il ne s’agit pas de ces raiosnnements et lorsque vous ne croyez pas l’échange égal il n’en faut plus parler. Mais comme je n’ai pour le Gratien double, je ne saurais me résoudre à vous le céder sans y mettre un prix, et mon intention a été de vous l’envoyer ( ?) de vous faire plaisir, étant aussi joli qu’il l’est, et ( ?) qu’il me procurerait en même temps quelque pièce que je n’aurais pas ; ainsi Monsieur si vous ne voulez pas vous résoudre à me laisser le médaillon de Trajan, je m’accomoderai avec plaisir de quelque médaille d’or commune. /Je ne puis vous rien annoncer de nouveau, depuis longtempds il ne m’est rien venu et si cela continue sur ce pied, je ne sais où j’en serai, vous êtes heureux d’être dans vos pays où les occasions d’acquérir sont plus fréquentes, et d’avoir outre cela des ressources que je n’ai point. J’ai l’honneur … » (Paris, BnF, Manuscrits Français 15185, f°72r et v [en ligne sur Gallica]).