Ferdinando Galiani - Joseph Pellerin - 1770-7-28
FINA IDUnique ID of the page ᵖ | 5491 |
InstitutionName of Institution. | Paris, Bibliothèque nationale de France |
InventoryInventory number. | NAF Ms. 1074, f° 14 |
AuthorAuthor of the document. | Ferdinando Galiani |
RecipientRecipient of the correspondence. | Joseph Pellerin |
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . | July 28, 1770 |
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. | Naples 40° 50' 9.35" N, 14° 14' 55.61" E |
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. | Mattia Zarrillo, Abraham Michelet d'Ennery, Dominique Magnan, Pietro Morosini |
LiteratureReference to literature. | |
KeywordNumismatic Keywords ᵖ | roman, price, greek, poseidonia, paestum, venise, canosa |
LanguageLanguage of the correspondence | French |
LinkLink to external information, e.g. Wikpedia | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53084153v/f36.image |
-Lettre du 28 juillet 1770 (de Naples) : « Votre lettre, Monsieur, du 9 est écrite d’une écriture aussi belle, aussi lisible qu’on puisse le souhaiter. Votre vue va donc bien malgré vos plaintes, et peut-être mieux que la mienne, qui va très mal. Je n’ai pas le temps ce soir de vous écrire aussi longuement que je souhaiterais, mais je ne veux pas tarder à vous donner de m’assortir des médailles du bas empire. De mon côté, je cherche aussi quelque chose d’excellent à vous procurer, mais on demande toujours de(s) prix fous et votre (collection ?) en est cause. Il suffit qu’on sache qu’une médaille manque à votre collection pour qu’elle soit hors de prix. Voici une note de trois médailles que l’abbé Zarillo a en vue. On voudrait savoir les prix que vous les pousseriez, car les prétensions sont énormes. J’ai en vue aussi une médaille unique de Posidonia avec la légende grecque, et une légende étrusque tout à côté. J’en ai offert 36 livres à Mr le Duc d’Acquavella qui la possède. Il n’a pas encore consenti, mais je n’en dérogerai pas. Je vous en donnerai la description un autre soir. Je n’ai vu qu’une fois le Père Magnan. Je le crois parti. Je pense qu’il faut( ?) beaucoup sur les acquisitions de Mr d’Enneri, à moins qu’il n’ait acheté, ou pillé les museum Tiepolo, ou Pirani, ou Morosini à Venise. Je désespère d’avoir la médaille de Canosas, puisqu’on ne veut pas même me la laisser voir. Conservez-moi votre amitié et croyez moi toujours votre très humble et obéissant serviteur. Galiani » (Paris, BnF, Fonds français, n. acq. 1074, Correspondance numismatique de Joseph Pellerin, f° 14).