Lancelot Favart - Claude Picard Duvau - 1731-6-7
FINA IDUnique ID of the page ᵖ | 5113 |
InstitutionName of Institution. | Paris, Bibliothèque nationale de France, Cabinet des Médailles |
InventoryInventory number. | Ms. Fonds français 15186, f° 176 |
AuthorAuthor of the document. | Lancelot Favart |
RecipientRecipient of the correspondence. | Claude Picard Duvau |
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . | June 7, 1731 |
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. | Reims 49° 15' 28.04" N, 4° 1' 54.95" E |
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. | Bernardo Sterbini |
LiteratureReference to literature. | |
KeywordNumismatic Keywords ᵖ | roman, tetricus, state of preservation, matidia, autopsy |
LanguageLanguage of the correspondence | French |
LinkLink to external information, e.g. Wikpedia | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065155t/f187.item.r=15186.zoom |
-Lettre du 7 juin 1731 (de Reims) : « J’ai vu hier au soir, monsieur, vos deux lettres du 4 de ce mois, et dans le moment j’ai couru après le Tétricus d’or. J’ai l’honneur de vous l’envoyer. J’espère que vous en serez content car il est d’une grande conservation, mais je ne sais si je vous ai bien annoncé le revers parce que je n’avais pas devant les yeux la médaille quand je vous écrivis ma lettre ; au reste la médaille est bonne et je souhaite vous trouver Tétricus le fils qui est encore plus rare. A l’égard de la Matidie que vous avez eu la bonté de m’envoyer, je vous en remercie de tout mon cœur, mais vous voulez bien que je vous parle franchement, elle est bien peu conservée ; on ne voit nulle lettre de Matidie et je vous la renvoie sur la permission que vous m’en donnez, vous priant de me mettre le premier sur votre liste pour la première qui pourrait vous tomber en main. Vous me faites un sensible plaisir de m’annoncer l’arrivée de M. Sterbini, vous m’obligerez sensiblement de m’envoyer le plus tôt que vous pourrez un petit peu de ses / richesses, et je vous prie de vouloir bien garder les dix écus du Tétricus comme des arrhes pour monsieur Sterbini. Vous m’obligerez de me donner avis de la réception des médailles et de me croire, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur » (Paris, BnF, Manuscrits, fr. 15186, f° 176).