Sterbini, Bernardo - Note delle Medaglie falsificate, e loro Autori, secondo, la mia prattica di 45. Anni
FINA IDUnique ID of the page ᵖ | 2824 |
TitleTitel of the book. | Note delle Medaglie falsificate, e loro Autori, secondo, la mia prattica di 45. Anni |
InstitutionName of Institution. | Oxford, Ashmolean Museum |
InventoryInventory number. | Charles Fredercik’s papers, B .2, fol. 1r-6v |
AuthorAuthor of the document. | Bernardo Sterbini |
Publication dateDate when the publication was issued: day - month - year . | |
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. | Oxford 51° 45' 7.24" N, 1° 15' 28.26" W |
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. | Charles Frederick, Luca Corsi, Scipione Maffei, Ferdinand de Saint-Urbain, Clemente IX, Domenico Landi, Raimundo Valentiano, Philipp von Stosch, Michel Dervieux, Niccolò de Cocornier, Marco Antonio Sabatini |
KeywordNumismatic Keywords ᵖ | |
LiteratureReference to literature. | Spier - Kagan 2000, p. 68-731 |
LanguageLanguage of the correspondence | |
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Sterbini, Bernardo (actif 1718-1751) -Oxford, Ashmolean Museum, Charles Fredercik’s papers, B .2, fol. 1r-6v): Anonyme (Bernardo Sterbini), Note delle Medaglie falsificate, e loro Autori, secondo, la mia prattica di 45. Anni – longue relation à la première personne de l’histoire des contrefaçons modernes (Padoue et Parme, Venise, monnaies retouchées [Luca Corsi], pièce de Dioclétien fabriquée pour l’abbé Arrigoni et vendue à Scipione Maffei qui l’a publiée comme vraie ; à Rome, le lorrain Ferdinand de Saint-Urbain a commencé à faire des monnaies pour le Pape Clément IX, entre autres une monnaie de Pescennius Niger avec la fortune ; Domenico Latinigreco, marchand de monnaies, en a retouché beaucoup ; Raimundo Valentiano ; Domenico Landi retouche également ; à Florence, Nicolo Dervieux moule et nettoie remarquablement ; il a vendu des copies des Séleucides ; à sa mort, ses outils ont été rachetés par le baron Stosch ; ses monnaies ont des craquelures et fissures qui proviennent de l’emploi de coins en bois ; explication des recettes pour la patine (40 jours dans les cendres d’un feu de cheminée puis quelques semaines à l’air mais pas au soleil) ; le plus dangereux faussaire est un autre français, Nicolo Cocornier qui a fait des faux à Parme ; l’auteur l’a rencontré à Rome où il s’est présenté de lui-même pour retoucher une monnaie de Galba ; il travaille pour Sabatini qui le loge près du ghetto juif en lui interdisant de frayer avec les autres orfèvres ; Cocornier a trafiqué un trésor de 800 deniers impériaux en accouplant différemment les droits et les revers ; énumération de ses créations et du prix auxquel elles se sont vendues (Spier & Kagan 2000, p. 68-73).
References
- ^ Spier, J. and J. Kagan (2000), “Sir Charles Frederick and the forgery of ancient coins in eighteenth-century Rome”, Journal of the History of Collections, 12 (1), pp. 35-90.