Abbé Brulon - Bernard de Montfaucon - 1732-1-29

From Fina Wiki
Revision as of 19:16, 6 August 2019 by FDeCallatay (talk | contribs) (Created page with "{{Correspondence |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France |Inventory=Fonds français 17703, f° 265r |Author=Abbé Brulon |Recipient=Bernard de Montfaucon |Corres...")
(diff) ← Older revision | Latest revision (diff) | Newer revision → (diff)


Abbé Brulon, Reims

Abbé Brulon - Bernard de Montfaucon - 1732-1-29
FINA IDUnique ID of the page  1944
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Fonds français 17703, f° 265r
AuthorAuthor of the document. Abbé Brulon
RecipientRecipient of the correspondence. Bernard de Montfaucon
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . January 29, 1732
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Reims 49° 15' 28.04" N, 4° 1' 54.95" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation.
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords 
LanguageLanguage of the correspondence
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
Map
Loading map...
You can move or zoom the map to explore other correspondence!
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du « 29 de l’an 1732 » (de Reims) : « Mon Révérend Père, Si vous ne trouvez pas la juste valeur de mon médaillon, je vous prie de m’en donner avis et je le ferai réviser par quelqu’un de mes amis en vous indemnisant des ports de lettre qu’il nous a fait coûter et peut-être que ce seul médaillon pourra me faire vendre un ( ?) que j’ai et qui est composé par un millier de médailles entre lesquelles est une petite médaille d’or qui m’est tombée dernièrement entre les mains et dont je ne connais pas la figure que je crois gothique quoique les lettres soient romaines et voici l’inscription qui est du côté de la tête : INTICIVATASPOV ce qui n’est distingué d’aucun point ; quant au revers, la multitude des lettres m’empêche quasi d’en connaître le commencement que je crois cependant être ainsi : ANOONUIIVRI AVG. Quant aux petites lettres, je n’ai pas bien pu les déchiffrer. Si cependant vous souhaitez la voir, je vous l’enverrai. Je vous prie s’il vous plaît de vouloir bien continuer vos soins pour moi et de croire que personne n’est avec plus de respect que moi, mon Révérend Père, votre très humble et obéissant serviteur. Brulon fils » (Paris, BnF, Fonds français 17703, f° 265r).