Bernard de Montfaucon - Claude Martin - 1696-5-28

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Bernard de Montfaucon, Paris (Saint-Germain)

Bernard de Montfaucon - Claude Martin - 1696-5-28
FINA IDUnique ID of the page  8439
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Fonds français, inv. 17701, f° 20r
AuthorAuthor of the document. Bernard de Montfaucon
RecipientRecipient of the correspondence. Claude Martin
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . May 28, 1696
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris (Saint-Germain) 48° 51' 21.06" N, 2° 19' 31.04" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Jean Mabillon
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Coins Sending , Postage
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 28 mai 1696 (de Paris) : » Je vous suis très obligé de la bonne volonté que vous aviez de me faire un présent de médailles antiques. Il y a plus d’un mois qu’elles sont arrivées mais Mr. de Rheims les retient et je n’espère plus de les avoir. Le père Mabillon m’a dit qu’il retient tout ce qu’on lui envoie pour lui quand ce sont de choses qui l’accommodent. Ainsi mon R. P. quand vous aurez quelque chose à nous envoyer, nous aimons beaucoup mieux en payer le port que de nous exposer à un péril presqu’assuré de les perdre en les mettant dans les ballots de M. de Rheims. Vous ne sauriez savoir combien cela me coûte. S’il avait au moins convenu de garder ce qu’il y avait de plus à son goût. Et d’envoyer le reste. Mais de retenir pour un homme qui a vendu son médaillier, c’est ce que je ne puis digérer. Tout ce que V. R. mettra dans ses ballots, il faut le regarder comme un présent fait à M. de Rheims. Je crois qu’après avoir beaucoup attendu, vous recevrez enfin le paquet des livres. Je voudrais être à même condition pour les médailles, fallut-il encore attendre quatre mois.» (BnF, Fonds français, inv. 17701, f° 20r).