Charles-François de Calvière - Jean-François Séguier - 1771-1-3

From Fina Wiki
Revision as of 20:12, 21 September 2019 by FDeCallatay (talk | contribs)
(diff) ← Older revision | Latest revision (diff) | Newer revision → (diff)


Charles-François de Calvière, Vézénobres

Charles-François de Calvière - Jean-François Séguier - 1771-1-3
FINA IDUnique ID of the page  2190
InstitutionName of Institution. Nîmes, Bibliothèque Carré d'Art
InventoryInventory number. Ms. 141, f° 19
AuthorAuthor of the document. Charles-François de Calvière
RecipientRecipient of the correspondence. Jean-François Séguier
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . January 3, 1771
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Vézénobres 44° 3' 10.30" N, 4° 8' 10.68" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Denis Petau
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Collection , Greek , Celtic , Book
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.seguier.org/correspondance/edition.aspx?id=532
Map
Loading map...
You can move or zoom the map to explore other correspondence!
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 3 janvier 1771 (de Vézénobres) : « Mon cabinet ne mérite pas selon moi toutes les éloges que vous lui donnez. C’est le hasard plutôt qu’un dessein prémédité qui a rassemblé tous ces différents morceaux à deux cents lieues de la capitale, à peu près comme se forma par des circonstances très imprévues la fameuse colonne anglaise à la bataille de Fontenoy. J’ai acquis depuis peu trois nouvelles médailles en argent qui me font quelque plaisir. Il y a parmi une médaille grecque que je crois très ancienne et que je ne manquerai pas de soumettre à vos lumières, la première fois que je pourrai / [fol. 19 v°] me procurer le plaisir de vous embrasser et de me renouveler moi-même les assurances de l’amitié la plus sincère et la plus reconnaissante, de même que des sentiments tendres et respectueux avec lesquels j’ai l’honneur d’être, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. Calvière. Ce 3e janvier 1771. Je m’aperçois que le livre que vous demandez n’est point celui que je vous envoie, sans qu’il y ait de ma faute, ni peut-être de la vôtre, mais Antiquariæ supellectillis & c. est un autre livre de Pétau, tout différent du mien, quoi qu’il en soit parlé dans la première page, en faisant l’énumération des divers ouvrages de ce savant. Cependant, comme celui-ci renferme beaucoup de médailles gauloises et que vous en avez beaucoup, je me fais un véritable plaisir de vous l’envoyer. » (Nîmes, Bibliothèque municipale, Ms. 141, f° 19).