Félix Cary - Claude Picard Duvau - 1734-11-24: Difference between revisions

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Latest revision as of 16:07, 25 November 2021


Félix Cary, Marseille

Félix Cary - Claude Picard Duvau - 1734-11-24
FINA IDUnique ID of the page  2395
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Ms. Fonds français 15185, f° 11-12
AuthorAuthor of the document. Félix Cary
RecipientRecipient of the correspondence. Claude Picard Duvau
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . November 24, 1734
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Marseille 43° 17' 46.21" N, 5° 22' 11.82" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Claude Génébrier, Cardin Le Bret
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Roman , Constantinus , Death , Exchange
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065154d/f14.image.r=Duvau%2015185
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 24 nov. 1734 (de Marseille) : « Il est bien temps que je vous donne de mes nouvelles et que je vous assure que je suis très mémoratif de vos politesses et très disposé à vous témoigner ma reconnaissance, si les occasions de vous être bon à quelque chose dans ma province se présenteraient. Je n’ai rien acquis de remarquable depuis mon retour : quelques médailles qui m’attendaient de très petite conséquence, ne valant pas la peine d’être décrites ; ce que j’ai eu de meilleur est un Constantin tyran qui n’était point encore dans ma petite suite. La mort nous a enlevé depuis peu M. Lebret, qui me ( ?) pour notre province. Je ne sais ce que deviendra son immense cabinet : prendre les médailles deviendrait plus commun (?) dans nos quartiers, mais quoi qu’il en soit, je n’aurais jamais voulu avoir à tel prix le plaisir d’enrichir mes suites. Voici quelques médailles du Bas-Empire qui sont fort à notre envie ; elles sont assez communes, mais il pourra s’y trouver des différences qui leur donnerait accès dans votre cabinet : je ne les pas doubles, mais dans le Bas-Empire une tête ( ?) (nb : suit la description de 15 monnaies) S’il y a là quelque chose qui vous convient je vous le céderai volontiers et je prendrez en échange de vos doubles et à propos de vos doubles, si vous étiez d’humeur à m’en accomoder à un prix honnête j’en prendrai un nombre dont j’ai gardé la note où en quoi j’attendrai votre réponse. Des compliments je vous prie à notre Génébrier. J’ai l’honneur d’être … » (Paris, BnF, Manuscrits Français 15185, f° 11-12 [en ligne sur Gallica]).