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| {{Correspondence | | {{Correspondence |
| |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France | | |Institution=Paris, Bibliothèque nationale de France |
| |Inventory=Manuscrits Français 15185, f° 8r et v | | |Inventory=Ms. Fonds français 15185, f° 8r et v |
| |Author=Félix Cary | | |Author=Félix Cary |
| |Recipient=Claude Picard Duvau | | |Recipient=Claude Picard Duvau |
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| |Place=Marseille | | |Place=Marseille |
| |Coordinates=43.29617, 5.36995 | | |Coordinates=43.29617, 5.36995 |
| | |Associated persons=Cardin Le Bret |
| |Literature=Sarmant 2003, p. 202, note 37 | | |Literature=Sarmant 2003, p. 202, note 37 |
| | |Numismatic keyword=roman; laelianus; maxentius; trajan; price; duplicates; collection sale |
| | |CorrespondenceLanguage=French |
| |Link=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065154d/f10.image.r=Duvau%2015185 | | |Link=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065154d/f10.image.r=Duvau%2015185 |
| |Grand document=-Lettre du 15 décembre 1734 (de Marseille) : « Les acquisitions que vous avez faites sont certainement bien belles. C. Laelianus surtout me paraît une pièce de conséquence, et je vous en félicite de tout mon cœur. J’ai aussi déterré une fort bonne médaille à peu près de ce temps-là, c’est un magnifique Maxence, morceau bien rare que je n’ai vu je crois nulle part ( ?) chez le Roi. Ainsi la destinée des médaillistes qui ( ?) les choses de façon que certains morceaux viennent à propos pour les dédommager ( ?) dans leurs ( ?), quand leur état ne peut plus suffire à leur goût. Le Trajan Alim. Ita. est déjà dans une suite, il est vrai qu’il n’est pas bien beau mais dès qu’il ( ?), j’aime autant le garder si vous vouliez reprendre celui que je tiens devous, je m’accomoderai decelui que vous me proposez. La Lucie Vère me manque mais il me paraît que cette médaille ne vaut pas les 40tt que vous l’estimez, c’est un ( ?) Lucie Vère ccomme ne doit valoir que 30tt. Quoi qu’il en soit, Monsieur, voyez quelques médailles de vos doubles dont je m’accomoderez volontiers si vous voulez bien y mettre un prix raisonnable. (nb : mention de 7 monnaies romaines). Je vous prie de me marquer au dernier mot ce que vous les estimer, et de ne pas les évaluer à la rigueur, car vous sentez bien qu’iln’y a pas moyen d’acheter / ( ?) prix fort hauts des médailles aussi ordinaires et que l’on peut trouver dans la suite poresque pour le poids ( ?) les ouvriers qui (me) présentent de temps en temps d’acheter des ( ?) de méd. Je ne sais ce que deviendra le cabinet de feu M. Lebret, et on est encore dans les embarras des inventaires. Ses fils étaient très formés dans la connaissance des médailles et peut-être auront-ils du goût pour le garder. …» (Paris, BnF, Manuscrits Français 15185, f° 8r et v ; Sarmant 2003, p. 202, note 37). | | |Grand document=-Lettre du 15 décembre 1734 (de Marseille) : « Les acquisitions que vous avez faites sont certainement bien belles. C. Laelianus surtout me paraît une pièce de conséquence, et je vous en félicite de tout mon cœur. J’ai aussi déterré une fort bonne médaille à peu près de ce temps-là, c’est un magnifique Maxence, morceau bien rare que je n’ai vu je crois nulle part ( ?) chez le Roi. Ainsi la destinée des médaillistes qui ( ?) les choses de façon que certains morceaux viennent à propos pour les dédommager ( ?) dans leurs ( ?), quand leur état ne peut plus suffire à leur goût. Le Trajan Alim. Ita. est déjà dans une suite, il est vrai qu’il n’est pas bien beau mais dès qu’il ( ?), j’aime autant le garder si vous vouliez reprendre celui que je tiens devous, je m’accomoderai decelui que vous me proposez. La Lucie Vère me manque mais il me paraît que cette médaille ne vaut pas les 40tt que vous l’estimez, c’est un ( ?) Lucie Vère ccomme ne doit valoir que 30tt. Quoi qu’il en soit, Monsieur, voyez quelques médailles de vos doubles dont je m’accomoderez volontiers si vous voulez bien y mettre un prix raisonnable. (nb : mention de 7 monnaies romaines). Je vous prie de me marquer au dernier mot ce que vous les estimer, et de ne pas les évaluer à la rigueur, car vous sentez bien qu’il n’y a pas moyen d’acheter / ( ?) prix fort hauts des médailles aussi ordinaires et que l’on peut trouver dans la suite presque pour le poids par les ouvriers qui (me) présentent de temps en temps d’acheter des ( ?) de méd. Je ne sais ce que deviendra le cabinet de feu M. Lebret, et on est encore dans les embarras des inventaires. Ses fils étaient très formés dans la connaissance des médailles et peut-être auront-ils du goût pour le garder. …» (Paris, BnF, Manuscrits Français 15185, f° 8r et v ; Sarmant 2003, p. 202, note 37). |
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