François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire - Jean-François Séguier - 1752-5-12

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François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire, Montpellier

François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire - Jean-François Séguier - 1752-5-12
FINA IDUnique ID of the page  1739
InstitutionName of Institution. Nîmes, Bibliothèque Carré d'Art
InventoryInventory number. Ms. 135, f° 30-31
AuthorAuthor of the document. François-Xavier de Bon de Saint-Hilaire
RecipientRecipient of the correspondence. Jean-François Séguier
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . May 12, 1752
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Montpellier 43° 36' 40.46" N, 3° 52' 36.23" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Antonio Francesco Gori
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Greek , Rhodes , Dissertation , Malta
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.seguier.org/correspondance/edition.aspx?id=369
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 12 mai 1752 (de Montpellier) : « J’ai vu, Monsieur, dans une lettre que vous écriviez à M. de Grasset le cadet, la bonté que vous avez eu de vous resouvenir de moi. J’ai l’honneur de vous remercier et en même temps de vous prier de m’envoyer, s’il est possible, la dissertation que j’ai faite sur une médaille frappée à Rhodes à l’honneur du chevalier De Fontis, puisque vous avez eu cette dissertation imprimée à Rome dans le 3e volume des Symbolae litterariae de M. de Gori. Je voudrais bien voir de quelle manière l’on a imprimé cette bagatelle, parce que je fis cette dissertation pour plaire au Grand maître de Malte qui me demanda d’expliquer cette médaille, dont il ne m’envoya que le dessin. On fut si content [/fol. 30 v°] à Malte de mon explication qu’elle excita un savant de ce pays-là d’en faire une autre pour critiquer la mienne et dès que j’eus reçû cette critique, j’y répondis si bien, que mon adversaire avoua que j’avais raison et qu’il ne pouvait plus me répliquer, ainsi Monsieur, je voudrai savoir si on a imprimé dans ce troisième volume des Symbolæ letterariæ, non seulement ma première dissertation, mais encore la seconde que je fis pour répliquer à mon adversaire et j’ose dire que ma réponse est encore mieux prouvée et plus savante que ma première dissertation. Je vous serai donc très obligé, Monsieur, de m’informer de ce qui en est, parce que ma réponse mérite d’être jointe à ma première dissertation et si elle ne l’est pas /[fol. 31 r°], je tacherai de vous l’envoyer par la voie de Mme de Grasset. » (Nîmes, Biblliothèque municipale, Ms. 135, f° 30-31).