François Hemsterhuis - Adelheid Amalia von Schmettau - 1790-5-17

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François Hemsterhuis, The Hague

François Hemsterhuis - Adelheid Amalia von Schmettau - 1790-5-17
FINA IDUnique ID of the page  8842
InstitutionName of Institution. Münster, Universitäts- und Landesbibliothek
InventoryInventory number. Gallitzin-Nachlaß Band 11
AuthorAuthor of the document. François Hemsterhuis
RecipientRecipient of the correspondence. Adelheid Amalia von Schmettau
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . May 17, 1790
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. The Hague 52° 4' 29.82" N, 4° 16' 10.85" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Willem Bentinck, Hendrik Fagel, Arkady Ivanovitch Markoff
LiteratureReference to literature. Sluis 2012c, lettre 10.115, p. 185-1861
KeywordNumismatic Keywords  Gems , Gem Price , Collection Sale , Market , Exchange
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.rug.nl/library/heritage/hemsterhuis/brieven
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 17 mai 1790 (de Den Haag) : « Voici un article, ma toute chère, auquel je vous supplie même de ne pas me repondre. Si vous avez encore vos pierres gravées ensemble, gardez les bien ensemble. Je souhaite que les circonstances permettent à vous ou à celui de vos enfants auquel vous les laisserez, de les garder ensemble et de les augmenter toujours, mais en tout cas il faut que vous sachez que Marcoff etant encore ici, se faisoit fort de faire en Russie de cet ensemble f 30.000 ou f 40.000. La chose n’est nullement absurde. C’est une verité, mon coeur, que je n’ai jamais pu vous dire par decence, mais qu’à present je dois vous dire pour vos propres interets, qui sont les miens. Sachez encore que depuis plus de 12 ans ces pierres sont oubliées totalement ici, qu’il n’y a plus personne en vie dans cette Republique qui les a vue, et que je n’en connois pas deux ici qui donneroient un sôl pour les voir. Il y a longues années qu’on sçait que je les ai tous ou vendues ou trocquées, ou données aux Bentincks, à vous, au Fagel, ou à trente amateurs etrangers, ce qui dans le fond est dans l’exacte verité. (Universitäts- und Landesbibliothek Münster, Gallitzin-Nachlaß Band 11 ; Sluis 2012c, lettre 10.115, p. 185-186).

References

  1. ^  Sluis, Jacob van (2012), François Hemsterhuis. Ma toute chère Diotime. Lettres à la princesse de Gallitzin, 1789-1790, Hemsterhusiana, volume 10, Berltsum - Van Sluis