François de Malherbe - Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - 1613-9-14

From Fina Wiki
Revision as of 16:47, 30 April 2020 by FDeCallatay (talk | contribs) (Created page with "{{Correspondence |Author=François de Malherbe |Recipient=Nicolas-Claude Fabri de Peiresc |Correspondence date=1613/09/14 |Place=Paris |Coordinates=48.8567, 2.35146 |Associate...")
(diff) ← Older revision | Latest revision (diff) | Newer revision → (diff)


François de Malherbe, Paris

François de Malherbe - Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - 1613-9-14
FINA IDUnique ID of the page  8079
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. François de Malherbe
RecipientRecipient of the correspondence. Nicolas-Claude Fabri de Peiresc
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . September 14, 1613
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 24.12" N, 2° 21' 5.26" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Palamède Fabri de Valavez, Catherine de Vivonne
LiteratureReference to literature. Malherbe 1862, lettre 132 et Adam 1971, p. 578-5791
KeywordNumismatic Keywords  Local Finds , Celtic
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
Map
Loading map...
You can move or zoom the map to explore other correspondence!
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 14 septembre 1613 (de Paris) : « Monsieur, j’ai ce matin reçu votre lettre du 28e passée (...) Vous me faites tort de me remercier de ces chétives médailles que je vous ai envoyées. Je vous écrivis, ce me semble, en ma dernière lettre, que j’en avais vu donner une à Mme de Rambouillet par un abbé de Saint-Michel, sur la frontière de Picardie; depuis je la priai de me la prêter pour la faire voir à un de mes amis ; et à quelques jours de là, lui faisant mon excuse de ce que je ne le lui avais pas encore rendue, elle me dit qu’elle me la donnoit, de sorte qu’elle m’est demeurée; et ce matin je l’ai mise entre les mains de M. de Valavez, pour vous la faire tenir: il est d’opinion que ce que je vous avais écrit être une cloche en l’un des côtés soit un œil de quelque géant; vous la verrez et en jugerez: pour moi après l’avoir ouï, je lui ai déclaré que je persistois, comme je ferai jusques à ce que vous m’ayez fait paroître le contraire » (Lalanne 1862, lettre 132 et Adam 1971, p. 578-579).

References

  1. ^  Malherbe, Fr. de (1862), Œuvres de Malherbe, édition Lalanne, vol. 3, Paris.