Gisbert Cuper - Antoine Galland - 1704-9-10

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Gisbert Cuper, Deventer

Gisbert Cuper - Antoine Galland - 1704-9-10
FINA IDUnique ID of the page  3419
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Gisbert Cuper
RecipientRecipient of the correspondence. Antoine Galland
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . September 10, 1704
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Deventer 52° 14' 57.37" N, 6° 10' 34.07" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. René-Joseph de Tournemine, Joseph-Charles-Procope de Ligne, Jean Foy-Vaillant
LiteratureReference to literature. Abdel-Halim 1964, p. 462-464, n° CXCVIII1
KeywordNumismatic Keywords  Roman , Faustina , Antony , Letters , Venice , Cabinet , Commodus
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 10 sept. 1704 (de Déventer) : [critique de l’explication d’une médaille de Faustine par le père Tournemine, publiée dans les Mémoires de Trévoux de novembre 1703, édition de Hollande, description d’une médaille de Marc Antoine dans laquelle Cuper soupçonne une méprise de monétaire, autres médailles défectueuses du cabinet du Prince de Ligne, à propos duquel Cuper ajoute : « Mais je ne sais ce qu’est devenu ce prince. Il y a plus d’un an que je ne reçois des lettres de lui, quoique j’ai répondu le 23 du mois de juin 1703 à sa dernière qui était du premier du même mois, et que j’ai encore écrit une autre le 14 déc. passé. Je suis fort triste que cette correspondance ne dure plus. Vous vous étonnerez fort des belles choses et médailles dont les lettres de ce prince sont remplies, et si je les voulais publier avec mes réponses, le public en serait assurément satisfait entièrement. Je crains qu’il est mort, ou qu’il a quitté Venise, et s’est retourné au Portugal, où il a une femme riche de la première qualité et de la famille d’Astorga si je ne me trompe. Je vous prie de me vouloir informer si vous savez où ce prince sénéchal de Ligne, qui est originaire des Pays-Bas et qui a demeuré par plusieurs ans à Venise, s’est retiré, ou s’il est encore en vie ; car je crois que vous le connaissez et que vous avez des correspondances à Venise, et qu’il est trop versé dans l’étude des médailles pour n’être pas connu de vous. J’ai été au mois d’avril à Amsterdam. J’y ai vu un des meilleurs cabinets de l’Europe. Je vous en entretiendrai un autre jour, et vous serez sans doute étonné » [description de quelques médailles rares vues dans ce cabinet, observations sur un médaillon de Commode « dont les Mémoires de Trévoux font mention à l’article XX du mois de nov. 1703 », réflexions sur une dissertation de Vaillant : Sur la véritable époque de la naissance de Notre Seigneur, mentionnée dans les mêmes Mémoires à l’article II du mois d’octobre 1703, demandes d’information sur d’autres ouvrages numismatiques mentionnés par ce périodique] « Mais, Mr, il est temps de finir, quoique j’ai encore beaucoup de choses à vous dire, et que je pourrais parler des médailles très rares, et à ce que je crois anecdotes et uniques. Et puisque vous me ferez le plaisir à ce que j’espère, de répondre tant à cette lettre qu’à la précédente, il me semble que vous avez assez de peine » (Abdel Halim, p. 462-464, n° CXCVIII).

References

  1. ^  Abdel-Halim, M. (1964), Antoine Galland, sa vie et son œuvre, Paris.