Gisbert Cuper - Mathurin Veyssière de La Croze - 1710-12-8

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Gisbert Cuper, Deventer

Gisbert Cuper - Mathurin Veyssière de La Croze - 1710-12-8
FINA IDUnique ID of the page  3826
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Gisbert Cuper
RecipientRecipient of the correspondence. Mathurin Veyssière de La Croze
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . December 8, 1710
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Deventer 52° 14' 57.37" N, 6° 10' 34.07" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Ezechiel Spanheim, Jean Hardouin, Lorenz Beger, Christian Heinrich Oelven, Johann Karl Schott
LiteratureReference to literature. Cuper 1743, XXIV, p. 83-85Cuper 1743
KeywordNumismatic Keywords  Quarrel , Errors
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://books.google.be/books?id=YfS7N-XEdWkC&pg=PA603&dq=gisbert+cuper+1743+lettres+litt%C3%A9raire&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiv bygqLrkAhUSJFAKHQ7kAgQQ6AEIKTAA#v=onepage&q&f=false
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 8 décembre 1710 (de Deventer) : « Mais Mr. le Baron de Spanheim est mort, et la république des lettres a perdu en lui un grand lustre, et un grand appui. Il aurait pu vous y être utile, si le service du roi son maître ne l’en avait empêché. Car, Monsieur, vous faîtes honneur aux savants de Berlin et du Nord, et votre réputation est si bien établie partout, que sa majesté ne vous permettrait pas de vous retirer » ; « Je vois par le billet de Mr. le Baron de Spanheim, qu’il se moquait de Mr. Oelven, et il avait raison ; donner dans les visions du Père Hardouin, c’est renoncer au bon sens ; et vous me ferez plaisir, si vous m’envoyez l’autre, qui touche celui, qui a écrit deux fois contre vous à feu son Exc. Mr. le Baron de Spanheim. Je n’aime pas de tels Ardeliones, et je juge qu’ils se sont dépouillés de toute civilité et humanité, lorsque sans raison ils disent ou écrivent à la sourdine du mal d’un autre ; même s’il y avait quelque raison, je suis d’avis de n’en mêler pas une autre, mais de dire ouvertement à la personne même, ce qui me fâcherait, et d’en tirer raison en ami » ; p.85 : « P.S. Assurez Mr. Schott de mes services. Est-ce que vous ne me pourriez pas faire avoir par son moyen un index des livres que feu Mr. Beger a publiés, ou qu’on a trouvés anecdotes après sa mort ; j’ai les imprimés pour la plupart. Pardonnez au désordre de cette lettre, en voulant finir ce long entretien, je reçois de Mr. Witzen quelques empreintes des raretés qui se sont trouvées en Sibérie, et je vous en envoie un exemplaire » (Cuper 1743, XXIV, p. 83-85).