Gisbert Cuper - Mathurin Veyssière de La Croze - 1715-9-5

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Gisbert Cuper, Deventer

Gisbert Cuper - Mathurin Veyssière de La Croze - 1715-9-5
FINA IDUnique ID of the page  3891
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Gisbert Cuper
RecipientRecipient of the correspondence. Mathurin Veyssière de la Croze
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . September 5, 1715
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Deventer 52° 14' 57.37" N, 6° 10' 34.07" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Johann Carl Schott, Antoine Galland, Jean-Paul Bignon, Nicolas-Joseph Foucault, William Sherard
LiteratureReference to literature. Cuper 1719Cuper 1719, Cuper 1743, LI, p. 169-173Cuper 1743
KeywordNumismatic Keywords  Greek , Antiochus , Seleucids , Error , Theft , Smyrna , Academy
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://books.google.be/books?id=YfS7N-XEdWkC&pg=PA603&dq=gisbert+cuper+1743+lettres+litt%C3%A9raire&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiv bygqLrkAhUSJFAKHQ7kAgQQ6AEIKTAA#v=onepage&q&f=false
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 5 septembre 1715 (de Oxen) : p. 169 : « Assurez de mes services Mr. Schott. Ce que Landus dit des médailles du roi Antiochus, où se trouve le mot , est à ce que je crois, une grande bévue ; vara Vibium sequitur, et illorum temporum eruditi in eodem cubant valetudinario ; j’ai remarqué fort au long dans mes Eléphants, et je suis bien persuadé que de telles médailles n’ont jamais été frappées, quoi que Pierius et d’autres savants de cette trempe nous disent, qu’ils les ont vues » ; p. 169 : « Pour revenir à Mr. Schott, vous savez sans doute que ses Ducenaires sont contredits par un anonyme dans le IX. Tome de l’Histoire critique ; il ne nous y apprend pas son sentiment, et il juge que la médaille est tout-à-fait énigmatique ; pour moi, il me semble que le plus probable est le sentiment de Mr. Galland, quoique j’y puisse trouver difficilement le Miliarium aureum » ; sur le consul d’Angleterre à Smyrne : p. 171 : « Vous, Monsieur, et Mr. Schott, vous faites bien d’être affligés de la perte du consul d’Angleterre ; car assurément elle est grande ; il commence à se remettre et à rassembler des curiosités. Il m’avait écrit il y a deux ans qu’il attendait un successeur ; j’en ai écrit à quelques amis, et ils m’assurent qu’ily restera, et la Compagnie du Levant ne le révoquera pas, ce qu’il craignait pourtant qui arriverait sous le dernier ministère. Il n’y a point de danger pour lui sous le roi George, et il m’a écrit qu’il y finira ses jours » ; sur l’élection de Cuper à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, p. 173 : « Je vous suis bien obligé de la félicitation, sur ce que le Roi m’a fait membre honoraire de l’Académie des Inscriptions et Médailles. Le premier qui m’en avait averti, c’est le conseiller Moreau de Mautour, le second Mr. l’Abbé Bignon, et le troisième Mr. Foucaut, qui en est président, et qui m’a écrit au nom de toute l’Académie ; je ne sais si l’on m’envoiera dans la suite une patente ou diplôme, mais je suis content de ce que ces trois illustres personnages m’ont fait savoir, à qui j’ai répondu aussi dans les termes, que cet honneur demande » (Cuper 1743 LI, p. 169-173).