Guillaume Beauvais - Claude Picard Duvau - 1733-6-22

From Fina Wiki
Revision as of 05:52, 27 September 2019 by FDeCallatay (talk | contribs)


Guillaume Beauvais, Orléans

Guillaume Beauvais - Claude Picard Duvau - 1733-6-22
FINA IDUnique ID of the page  1573
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Manuscrits, Français 15186, f° 256r et v
AuthorAuthor of the document. Guillaume Beauvais
RecipientRecipient of the correspondence. Claude Picard Duvau
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . June 22, 1733
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Orléans 47° 54' 9.83" N, 1° 54' 31.00" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation.
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Roman , Augustus , Tiberius
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
Map
Loading map...
You can move or zoom the map to explore other correspondence!
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 22 juin 1733 (d’Orléans) : « J’ai Monsieur reçu avec tout le plaisir imaginable la dernière lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire. Je suis infiniment sensible aux marques d’attention que vous me témoignez et je vous prie vouloir bien me continuer vos bontés et vous … de moi quand il se présenterait du grand bronze à acquérir. Je viens d’accepter depuis 4 jours la suite de grand bronze de Monsieur Pollocke dans laquelle figurait un Auguste incontestable au revers consu. Senatus Xa, un beau Tibère… Je ne songe pas moins à vous Monsieur et voici deux médailles d’or du Bas-Empire que je vous annonce et dont vous serai le maître moyennant quelques médalles ( ?) en retour. Mr Pollocke qui les a en faisant une suite (description) / En voilà Monsieur la description exacte lettre à lettre. Si elles vous font plaisir ou l’une ou l’autre, faites moi l’honneur de me mander vos intentions et je vous les aurai. Comme l’heure me presse, je n’ai que le moment de vous assurer de mes respects… » (Paris BnF, Manuscrits, Français 15186, f° 256r et v).