Jean-Jacques Barthélemy - Paolo Maria Paciaudi - 1763-12-17

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Jean-Jacques Barthélemy, Paris

Jean-Jacques Barthélemy - Paolo Maria Paciaudi - 1763-12-17
FINA IDUnique ID of the page  1371
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Jean-Jacques Barthélemy
RecipientRecipient of the correspondence. Paolo Maria Paciaudi
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . December 17, 1763
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 23.80" N, 2° 21' 5.40" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Antonio Savorgnan
LiteratureReference to literature. Nisard 1877, lettre n° XXIX, p. 269, 2701
KeywordNumismatic Keywords  Greek , Phoenician , Paleography , Greece , Greek , Caria , Pixodaros , Exchange
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://books.google.be/books?id=r01jDEmqidUC&pg=PA270&dq=Venise,+de+me+c%C3%A9der+le+Pixodaros&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiQ9v7YnrXjAhWD26QKHaSQCvQQ6AEIKTAA#v=onepage&q=Venise%2C%20de%20me%20c%C3%A9der%20le%20Pixodaros&f=false
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 17 décembre 1763 (de Paris) : « Je passe à des objets moins tristes. Je vous envoie une seconde lettre sur des médailles phéniciennes que je ne vous conseille pas de lire, mais d’insérer dans votre recueil. La matière en est trop sèche pour vous amuser, et je ne me suis proposé qu’à lever une partie des difficultés que ces médailles nous présentent. A force de tourner autour de ces monuments, je viendrai peut-être à bout de les éclaricir complètement, et j’aurai rempli ma tâche « ; « Pour moi, qui aime la Grèce avec fureur et qui à chaque pas ai cru la reconnaître en Italie, j’ai ma conscience bien nette sur tout ce que j’ai pensé, dit ou écrit sur ce beau pays. Je suis pourtant bien fâché qu’il y ait des gens si difficiles, et que notre sénateur de Venise ne veuille point me faire un petit sacrifice. Je ne puis pourtant pas l’en blâmer. La possession de certaines médailles est un très grand attrait pour tous ceux qui ont ce goût-là, et il ne faut ni attaquer ni condamner les goûts. Ainsi, mon cher ami, ne pressez plus M. de Savorgnan. Je n’avais fait des démarches auprès de lui que parce que je ne l’avais pas vu éloigné, dans mon séjour à Venise, de me céder le Pixodaros, et que, d’un autre côté, j’aurais pu lui offrir un échange dont il aurait été content » (Nisard 1877, lettre n° XXIX, p. 269, 270).

References

  1. ^  Nisard, Ch. (1877), Correspondance inédite du comte de Caylus avec le P. Paciaudi, théatin (1757-1765) suivie de celle de l’abbé Barthélemy et de P. Mariette avec le même, II, Paris.