Jean Tristan de Saint-Amant - Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - 1637-7-21

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Jean Tristan de Saint-Amand, Paris

Jean Tristan de Saint-Amant - Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - 1637-7-21
FINA IDUnique ID of the page  790
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Fonds français, vol. 9536, fol. 131
AuthorAuthor of the document. Jean Tristan de Saint-Amand
RecipientRecipient of the correspondence. Nicolas-Claude Fabri de Peiresc
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . July 21, 1637
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 23.80" N, 2° 21' 5.40" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Johannes Hemelaers, Charles III de Croÿ, duke of Arschot
LiteratureReference to literature. Tamizey de Larroque 1885, p. 19-23Tamizey de Larroque 1885, Callataÿ 2017, p. 119, n° 172.Callataÿ 2017
KeywordNumismatic Keywords 
LanguageLanguage of the correspondence
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.academia.edu/34630611/2017 Glory and misery of Belgian numismatics from the 16th to the 18th c
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

21 July 1633 (from Paris): “sachez que je dois donner un gros bouquin de mes rêveries aux curieux l’année prochaine, mais que ce sera toutefois à condition que je ne me trouve point prévenu en principales pièces expliquées par des curieux plus intelligents que je ne suis, qui suis le fils aîné de l’ignorance, et vous dirai qu’outre ledit seigneur Angeloni, nous avons ici un père minime qui fait quelques observations sur quinze cens med[ailles] d’argent, que le sieur Collobert, curieux, a fait graver, et ce à l’imitation du discours fait par Joannes Hemelarius sur les med[ailles] d’or du duc d’Arschot. Toutesfois je ne crois pas que nous nous rencontrions souvent en nos imaginations ; il est ce que je serais content qu’il me donna le sujet, et les autres, de retrancher quelque chose de mes écritures, car j’ai un courage et un dessein trop vastes” (Paris, Bnf, Fonds français, vol. 9536, fol. 131; Tamizey de Larroque 1885, III, p. 19-23).