|
|
Line 1: |
Line 1: |
| {{Correspondence | | {{Correspondence |
| |Institution=Paris, Bibliothèque de l'Arsenal
| | |Author=Gottfried Wilhelm Leibniz |
| |Inventory=Ms. 5983
| | |Recipient=Ezechiel Spanheim |
| |Author=Joseph Eckhel | | |Correspondence date=1703/10/26 |
| |Recipient=Esprit-Marie Cousinéry | | |Place=Hannover |
| |Correspondence date=1795/02/17 | | |Coordinates=52.37448, 9.73855 |
| |Place=Vienna | | |Associated persons=Andreas Morell; Andrew Fountaine; Antonio Agustin; Vincencio Juan de Lastanosa; Thomas Herbert; Anton Günther von Schwarzburg-Arnstadt; Christian Schlegel |
| |Coordinates=48.20835, 16.3725 | | |Literature=Klopp 1874, III, pp. 47-48, Lettre CCXCV ; Babin - Van den Heuvel - Widmaier 2011, p. 640-641, lette 375 |
| |Literature=Eckhel 1792; Nicolet-Pierre 1987, p. 207 | | |Numismatic keyword=punic; alphabet; paleography; iberic; ectypes; roman; carausius; forgeries; unpublished book; isinglass coin reproductions |
| |Numismatic keyword=book; library; price | |
| |CorrespondenceLanguage=French | | |CorrespondenceLanguage=French |
| |Grand document=-Lettre du 17 fév. 1795 : « Comme tout ce que la numismatique a d’intéressant y est compris, rédigé par un travail de plus de quinze années, vous vous pouvez passer moyennant celui (là ; nb : sa Doctrina numorum veterum) de tout ce fatras des livres que vous me demandez et qui, outre le prix considérable, sont si difficiles à être trouvés » (Paris, Bibliothèque de l’Arsenal, Ms. 5983 ; Nicolet-Pierre 1987, p. 207). | | |Grand document=-Lettre du 26 octobre 1703 (de Hanovre) : « Vous parlez, Monsieur, dans votre lettre dédicatoire à M. le comte de Pembrock [Pembrocke] de la suite des lettres puniques qu'il a tiré des médailles et je souhaiterais qu'on la pût obtenir. Je souhaiterais aussi que des anciennes médailles espagnoles qu'Antoine Augustin [Antonio Augustin], Juan de Lastanosa et d'autres ont publié, on pu tirer de même un alphabet. Mons. Wormius avait cru que ce que sont des lettres runiques, mais c'est toute autre chose. Je ne puis savoir encore apprendre jusqu'ici ce qu'on fera du trésor des ectypes ou dessins que feu Mons. Morel [Morell] a laissés et j'ai peur qu'il n'aille à mal. Mons. le comte de Schwarzbourg à qui j'en ai fait demander des nouvelles ne s'étant point expliqué. Ce seigneur en contribuant à la perfection de ce grand ouvrage en aurait une gloire immortelle. Le mal est qu'on ne voit guère de jeunes hommes en Allemagne (si j'excepte M. Schott) qui ait du goût pour ces belles connaissances. Car M. Schlegel que feu M. Morel avait pris pour l'assister s'attache principalement aux modernes. Peut-être que votre autorité, Monsieur, pourra contribuer beaucoup chez M. le comte pour le porter à pousser un si beau dessein. M. le Chevalier Fontaine [Fountaine], jeune anglais mais bien savant et sage pour son âge, que j'ai vu ici et à Berlin lorsqu'il est allé en Italie et en est revenu avec Mylord Woodstock fils de Mylord Portland, avait apporté d'Angleterre un beau Carausius où il y avait, ce me semble : adventus Augg. Mais il avait rapporté d'Italie quantité de belles pièces et je l'ai exhorté de nous donner un ouvrage de Fraudibus antiquorum et præsertim nummariorum comme Bartholin en a fait un de Fraudibus pharmacopoeorum. Car un tel livre serait instructif et servirait à s'en garder et M. Fontaine s'est informé à fonds sur ce sujet ». (Klopp 1874, III, pp. 47-48, Lettre CCXCV ; Leibniz 2011, pp. 640-641, lette 375). |
| | }} |
| | {{Remark |
| | |Remark=Remarque : Lord Pembroke, qui fut un collectionneur de monnaies, était l'un des protecteurs d'Andrew Fountaine. Sur Fountaine voir la lettre du 11 novembre 1702, de Leibniz à Sophie de Hanovre. Sur la collection de lord Pembroke, voir la lettre de Leibniz à Spanheim, du 24 décembre 1701 : « On me dit que Milord Pembroke est un grand connaisseur de médailles et a un beau cabinet » (série I, Allgemeiner politischer und historischer Briefwechsel, 20, Göttingen, 2006, p. 680, lettre 391). |
| | |Language=fr |
| }} | | }} |