Joseph de Bimard - Jean-François Séguier - 1740-5-20

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Joseph de Bimard, Paris

Joseph de Bimard - Jean-François Séguier - 1740-5-20
FINA IDUnique ID of the page  1529
InstitutionName of Institution. Nîmes, Bibliothèque Carré d'Art
InventoryInventory number. Ms. 139, f° 230-231
AuthorAuthor of the document. Joseph de Bimard
RecipientRecipient of the correspondence. Jean-François Séguier
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . May 20, 1740
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 23.80" N, 2° 21' 5.40" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Scipione Maffei, Louis Jobert
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords 
LanguageLanguage of the correspondence
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://www.seguier.org/correspondance/edition.aspx?id=800
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

Lettre du 20 mai 1740 (de Paris) : « Vous trouverez dans ma lettre un petit paquet de ces semences de sensitive que vous m’avez demandées. Si vous avez un libraire à Vérone qui soit le correspondant d’Argelati, faites demander à ce dernier un paquet qu’il lui a été envoyé dans un ballot de D. Martin Bouquet adressé à M. le marquis Maffei, dans lequel il y a un exemplaire de la nouvelle édition de la Science des médailles pour M. Maffei et un pour vous. J’admire la patience que vous avez eue de lire mes dissertations et je sais prendre au rabais les louanges que votre amitié pour moi vous suggère. Apprenez-moi si il sera fait mention de ce livre-là dans les observations du marquis. Le bien de la République des lettres demanderait qu’on fit sentir qu’il n’y a pas beaucoup à compter sur tous ces monuments tirés des recueils manuscrits et la plupart du temps défigurés. Il semble qu’on ne travaille qu’à mettre des pierres au travers du chemin qui conduit à la vérité. On ne bâtira sur un terrain ferme que quand on se sera accoutumé à ne publier que les médailles et les inscriptions qu’on a vues soi-même ou du moins qui ont été vues et examinées par des gens sur lesquels on peut entièrement compter. » (Nîmes, Bibliothèque municipale, Ms. 139, f° 230-231).