Lancelot Favart - Claude Picard Duvau - 1731-6-11

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Lancelot Favart, Reims

Lancelot Favart - Claude Picard Duvau - 1731-6-11
FINA IDUnique ID of the page  5114
InstitutionName of Institution. Paris, Bibliothèque nationale de France
InventoryInventory number. Manuscrits, fr. 15186, f° 173
AuthorAuthor of the document. Lancelot Favart
RecipientRecipient of the correspondence. Claude Picard Duvau
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . June 11, 1731
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Reims 49° 15' 28.04" N, 4° 1' 54.95" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Bernardo Sterbini
LiteratureReference to literature.
KeywordNumismatic Keywords  Roman , Vitellius , Collection , Tetricus , Matidia , Catalogue
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9065155t/f183.item.r=15186.zoom
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 11 juin 1731 (de Reims) :« J’ai vu monsieur votre lettre du 8 juin, mais avant d’y faire réponse, permettez-moi de vous faire part d’un moyen qu’on m’a suggéré pour aborder le Vitellius d’or chez Madame Gaudoy à Riblemont ; il y a tout proche de Riblemont et à une portée de fusil de la ville une abbaye de Bénédictins de la congrégation. L’abbaye se nomme Saint-Nicolas-sous-Riblemont ; c’est à vous à présent à trouver quelque connaissance par les Bénédictins de Paris pour aborder la dame, ou qui puissent vous mander s’ils ni peuvent réussir qui sont les gens que cette veuve honore de sa confiance. Je voudrais pouvoir vous en dire davantage. Revenons à présent à votre lettre. Je suis charmé que le Tétricus vous ai fait plaisir ; vous m’obligerez de ne pas dire à Paris qu’elle vient de moi, parce qu’il est désagréable d’être obligé de se justifier sur la préférence. Vous m’entendez assez, ne me fermez pas les mains ; je vous en conjure. Pour ce qui est des Dames de Trajan du P. Dupineau, il n’y aurait que la Matidie qui me conviendrait, ayant les deux / autres d’une grande beauté, et vous m’obligeriez beaucoup de la voir pour savoir de vous si elle vous plaît et d’ailleurs si en ( ?) la détacher, vous pouvez même dire au P. Dupineau que c’est pour moi. Je vais prier dieu tous les jours pour l’heureuse destinée du sieur Sterbini et je souhaite de tout mon cœur que vous lui rendiez la première visite ; vous trouverez ci-joint une petite (suite ?) des médailles que vous pourrez m’acheter si elles sont des vôtres parce que souvent on les manque quand on écrit et qu’on a une réponse. J’ai l’honneur… PS : Médailles de grand bronze que je souhaiterais pouvoir acquérir (suit la liste) « (Paris, BnF, Manuscrits, fr. 15186, f° 173).