Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Girolamo Aleandro - 1620-12-16

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Nicolas-Claude Fabri de Peiresc, Paris

Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Girolamo Aleandro - 1620-12-16
FINA IDUnique ID of the page  7428
InstitutionName of Institution.
InventoryInventory number.
AuthorAuthor of the document. Nicolas-Claude Fabri de Peiresc
RecipientRecipient of the correspondence. Girolamo Aleandro
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . December 16, 1620
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. Paris 48° 51' 24.12" N, 2° 21' 5.26" E
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. Hubert Goltzius
LiteratureReference to literature. Fauris de Saint-Vincent 1819, p. 87, 89, 921
KeywordNumismatic Keywords  Gems , Cameo , Armenia , Caligula , Roman , Scorpio , Africa , Antiochos Of Commagene, Commagene , Iotape , Augustus
LanguageLanguage of the correspondence French
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia 
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Grand documentOriginal passage from the "Grand document".

-Lettre du 16 décembre 1620 (de Paris) : sur le Grand Camée d’Auguste, p. 87 : « Vous avez grandement, raison de penser que cet habit peut convenir à Jupiter, dans le temps que vivait Tibère. Je n'y avais pas d'abord pensé, retenu par le lituus qu'il tient dans la main, qui m'obligeait de trouver en lui les attributs d'un prêtre; et j'étais tenté de le considérer comme faisant fonction d'un prêtre d'Auguste, à l'exemple d’Antonia, qui fut ensuite représentée sur les médailles frappées sous Caligula son neveu, avec deux flambeaux allumés dans les mains, et l'inscription : SACERDOS DIVl AUGUSTI » ; p. 90 : « Mais ayant examiné un peu plus attentivement l'ouvrage, et m'élant aperçu d'un scorpion sculpté sur le bouclier attache au trophée, je me rappelai de quelques médailles que je possède d’ Antiochus de Commagéne et de Jotapè, qui régnèrent dans l'Arménie ou aux enviions, où un scorpion était représenté. Le scorpion était donc le type propre à l'Arménie (quoique le scorpion ait encore été regardé comme le signe de l'Afrique par quelques auteurs). Alors je pensai que ce camée pouvait plutôt avoir été fait quelques années après la mort de Marcellus, et que la figure du jeune homme que je croyais être Marcellus, s'appliquait plutôt à Caius César, neveu d'Auguste, qui avait conquis l'Arménie. » ; p. 92 : « Avouons cependant qu'il se présente une autre difficulté, qui est que, sur toutes les médailles faites dans ce temps pour célébrer la reprise de l'Arménie, on voit des arcs, des carquois, et il n'y en a point ici. L'on y trouve, au contraire, de longs traits, tels que ceux des Gaulois, des Espagnols et des Germains. L'un des captifs Barbares porte un collier à la gauloise, On voit dans l'Auguste de Golzius une médaille avec un scorpion, qui pourrait tirer de là son origine, avec le nom de L. Aquilius Florus VII. vir, lequel, selon Dion, ne paraît pas avoir vécu depuis la victoire d’Actium, arrivée sept ou huit ans avant la mort de Marcellus. (Fauris de Saint-Vincent 1819, p. 87, 89, 92).

RemarksRemarks regarding the annotation. (fr)

Selon Fauris de Saint-Vincent, la ettre envyée le même jour à Rubens l'aurait été de Paris... (fr)

References

  1. ^  Fauris de Saint-Vincent, Jules-François de (1819), Correspondance inédite de Peiresc avec Jérôme Aléandre, etc., Imprimeris Porthmann, Paris.