François Hemsterhuis, The Hague
François Hemsterhuis - Adelheid Amalia von Schmettau - 1784-7-13
FINA IDUnique ID of the page ᵖ | 8812 |
InstitutionName of Institution. | Münster, Universitäts- und Landesbibliothek |
InventoryInventory number. | Gallitzin-Nachlaß Band 7 |
AuthorAuthor of the document. | François Hemsterhuis |
RecipientRecipient of the correspondence. | Adelheid Amalia von Schmettau |
Correspondence dateDate when the correspondence was written: day - month - year . | July 13, 1784 |
PlacePlace of publication of the book, composition of the document or institution. | The Hague 52° 4' 29.82" N, 4° 16' 10.85" E |
Associated personsNames of Persons who are mentioned in the annotation. | Willem Bentinck, William Cavendish, 2nd Duke of Devonshire, William Hamilton, Francis Henry Egerton |
LiteratureReference to literature. | Sluis 2010b, lettre 5/54, p. 2001 |
KeywordNumismatic Keywords ᵖ | Gems , Connoisseurship , Sulphur Cast , Plaster Cast |
LanguageLanguage of the correspondence | French |
External LinkLink to external information, e.g. Wikpedia ᵖ | https://www.rug.nl/library/heritage/hemsterhuis/brieven |
Grand documentOriginal passage from the "Grand document".
-Le 13 juillet 1784 (de Den Haag) : « Je ne veux pas finir sans vous communiquer une anecdôte de dactylologie qui vous fera de la peine. Il y a ici Mylord Egerton, fils d’archeveque, neveu de notre feu ami Rhoon, lui ressemblant beaucoup, très riche, ayant beaucoup et bien vojagé, et l’un des plus reëls et solides connoisseurs en pierres gravées etc. que j’ai jamais vu. Jugez si je l’aime! Il m’a dit que le Diomede du Duc de Devonshire n’existe plus dans la nature. Je m’en etois deja douté sans avoir ôsé le dire, lorsque Miladdy Spencer vous envoia les empreintes des pierres de son beaufils. Je connoissois tellement cette merveille par tant de souffres et de pâtes que j’en avois eu, et je ne la reconnus plus dans l’empreinte de Mad. Spencer. Je suis persuadé à present que Hamilton n’a jamais vu cette pierre incomparable. Lorsque j’aurai recueilli toutes mes preuves de cette histoire affligeante vous le saurez, mais enfin ce Diomede a disparu non seulement, mais cessé d’être depuis dix ans! » (Universitäts- und Landesbibliothek Münster, Gallitzin-Nachlaß Band 7 ; Sluis 2010b, lettre 5/54, p. 200).
References
- ^ Sluis, Jacob van (2010), François Hemsterhuis. Ma toute chère Diotime. Lettres à la princesse de Gallitzin, 1784, Hemsterhusiana, volume 5, Berltsum - Van Sluis