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  • Simonds D'Ewes - Alexander Livingstone 1649-09-11  + (Viro dignissimo Theologo amicissimo AlexanViro dignissimo Theologo amicissimo Alexandro Levingstonio Simondsus Deuusius Eques Auratus & Baronettus S P D</br>Quod codicillos a nobis priores vir amicissime accepisti vernaculos summa in caussa fuit festinatio, et quod tibi vicissim eadem me compellanti dialecto facilius ignoscendum. De Gulielmo Moravio rei nummariae Romanae \callentissimo/ peritisssimo tam singulari desiderio necessitudinem nostram sitiente gratissimum fuit nobis nuntium. atque id utinam \per innocuum/ dulceque nobis otium illius frui liceret colloquio, ut numismatum nostrorum praecipua acuratius con una contemplaremur. Plurima mihi pridem suspecta aurea \et aenea pauca/ Viri doctissimi Petri Fittonis nuper ex Gallia hic appulsi me perhumaniter invisentis \suasu, Thesauro meo Numario/ ex tabulis meis excussi, imo \S. Pompeij Magni/ Julij Caesaris illud aeneum et Pescennij Nigri singularia illa aenea utpote adulterina reijcienda etiam mihi persuasit. Neque (acerrimo vir ille judicio \nec/ Othoni meo qui tantopere tibi placuerit, acerrimo vir ille judicio pepercit. eundem igitur ad tempus seposui donec Gulielmi Moravij ea super re exploraverim sententiam. Vale vir amicissime et Moravium tuum meo nomine salutare non graviter. Dabam Visimonasterij III Idus Septembris Juliani CDCXLIX</br>[To the most worthy and very good friend the Theologian Alexander Levingstone Simonds D’Ewes Knight and Baronet gives greeting</br>That the previous letter you received from me was in English was mostly for reasons of haste, and in turn you may the more easily be forgiven for greeting me in the same tongue. I was very pleased to hear the news that William Murray [Moravius], who is most expert in Roman numismatics, is so particularly keen to help me. May it be that with harmless and sweet leisure it will be possible to enjoy his conversation, so that we may together examine the more special of my coins. Many of the gold and a few of the bronze, which have long been suspected by me, I have, on the advice of the learned Peter Fitton (who recently very kindly visited me here from France) indeed removed from my Numismatic Treasury, and further he convinced me that those remarkable bronzes of the Pompey the Great, Julius Caesar and Pescennius Niger should be rejected as fakes; nor has he, in his very acute judgment, spared my Otho which would have pleased you so much. So I have set that very coin aside for the time being, until I shall have been able to seek the opinion of William Murray on the matter. Goodbye, my very good friend and greet your Murray cheerfully in my name.Given at Westminster, 11 September 1649.] (BL MS Harley 378, f. 108r; Burnett 2020b, p. 1199)S Harley 378, f. 108r; Burnett 2020b, p. 1199))
  • Vincent Minutoli - Pierre Bayle - 1686-2-15  + (Vous étes si tôt et si bien instruit, mon Vous étes si tôt et si bien instruit, mon cher Monsieur, de tout ce qui se passe dans ce vaste empire dont vous nous envoyez de si importantes nouvelles tous les mois, que je ne doute point que vous n’ayez déja oüi parler de la mort de l’illustre Monsieur Spon [1], laquelle vous aura été d’autant plus affligeante, qu’• il étoit tres propre à vous fournir de tems en tems de quoy grossir agreablement vôtre excellent ouvrage. Mais j’ay peine à croire que personne aît pû vous envoyer des memoires aussi sûrs pour en composer l’eloge (qu’on ne croyoit pas qui deût suivre de si prés celui que vous avez donné de Mons r son pere [2]) que ceux que j’ay pû receüillir de divers entretiens que j’ay eus pour ce sujet avec Mr Moze [3] le meilleur de ses amis et dont voicy le resultat en peu de mots.</br>Mr Jacob Spon naquit à Lyon l’an 1647. Comme il étoit le fils aîné d’un sçavant homme et que c’est la passion dominante des gens de lettres de les perpetüer dans leur famille, il fut destiné aux études, en quoy on ne lui fit aucune violence, parce qu’il y étoit porté naturellement ; ce fut par une education domestique qu’il en jetta les premiers fondemens, et quand l’âge de 9 à 10 ans l’eut rendu capable de porter les fatigues du voyage, on l’envoya à Geneve où il fit ses classes et sa philosophie, y étant promû l’an 1662. Il eut l’avantage outre les professeurs ordinaires qui étoient Mrs Puerari [4] et Wys [5], d’y pouvoir étudier sous le celebre Mr de Rodon [6], qui s’y étant retiré depuis peu y vivoit en homme privé, et ce qu’il y eut de considerable c’est que ce méme Mr de Rodon étoit celui qui avoit enseigné la philosophie à Mr Spon le pere. Son cours achevé il passa à Montpellier, où il poussa l’étude de la medecine sous d’habiles maîtres, comme Mrs Chicoineau, Solignac, Sanche et Durand [7], jusqu’à y étre receû docteur avec applaudissement en 1667. Etant de retour chez lui, Mr son pere eut assez de credit pour le faire aggreger au College des medecins de Lyon, ce qui se fit en 1669. Et l’intervale qu’il y eut entre sa promotion et son aggregation se passa hors du royaume par cette raison qu’étant lui méme Allemand d’extraction, il eut en veüe de se rendre principalement utile aux familles allemandes établies à Lyon, et que pour cela songeant d’aller apprendre leur langue en quelque ville d’Allemagne, il se ménagea un échange avec un des fils du fameux Mr Boecler de Strasbourg [8], chez qui apparemment il commença de se mettre en goût de ces recherches d’antiquitez à quoy il a donné ensuite une grande partie de ses soins, d’autant plus que l’illustre Mr Charles Patin [9] avec qui il avoit de si grandes liaisons, s’y trouvoit aussi en ce temps là. Il fit apres cela un tour en France, et ayant regagné sa patrie il y vivoit dans une heureuse pratique de la medecine, lors que par l’occasion du passage de Mr Vaillant antiquaire du Roy de France [10], et qui alloit en Italie à la quéte des medailles et d’autres antiquitez, il lui prit envie de se joindre à lui, ce qui fut suivi de ce beau voyage / de Dalmatie, de Grece et du Levant fait aux années 1675 et 1676, et dont il nous a donné une si charmante et si instructive description en trois volumes [11]. Ce fut par ce moyen qu’il s’enrichit de tant de belles connoissances, qu’étant de retour il étoit comme ces phioles dont on a peine à faire tomber goute à goute les liqueurs dont elles sont pleines, il ne sçavoit par où commencer de faire part au public des tresors qu’il avoit ramassez, on vid cependant outre les Voyages dont je viens de parler, et les Recherches des antiquitez de Lyon [12], qu’il avoit données auparavant, paroître les livres suivans, Ignotorum atque obscurorum deorum aræ, Réponse à la critique publiée par Mr Guillet contre ses voyages, Histoire de Geneve en 2 vol.[,] Lettre au Pere La Chaise sur l’antiquité de la religion, Recherches curieuses d’antiquitez[,] Miscellanea erudita antiquitatis in fol.[,] Aphorismi novi ex Hippocratis operbus passim collecti gr[æcis et] lat[inis] cum notis[,] Observations sur les fievres et sur les febrifuges [13].</br>L’histoire des sçavans vous est trop connüe, mon cher Mons r pour que vous ignoriez qu’il en prend souvent à ces grands ecrivains comme aux arbres trop feconds, qu’on voit ordinairement n’étre pas de longue vie ; c’est ce qui est arrivé au grand homme duquel il s’agit icy, et il semble qu’il apperceût venir sa fin, quand dans la lettre qu’il vous écrivit dès qu’il fut revenu du voyage qu’il fit en Guyenne avec Mr Moze, l’an 1683 [14] il vous disoit qu’il croyoit que ses Miscellanea seroient le dernier de ses livres dont il verroit la publication et il avoit raison de ne se pas promettre un fort long terme, puis que l’on remarquoit en lui de longue main tous les symptomes d’une phtisie [15] qui faisoit d’autant plus de progres pour la destruction de son corps que de quelque regime qu’il usât, et les fatigues de ses voyages et les travaux de ses études et de sa profession, sans parler de ceux de son grand commerce avec je ne sçay combien de sçavans, ne lui permettoient pas d’en reparer le déchet. L’art avoit cependant soûtenu depuis longtems en lui la nature sur tout par l’usage du lait d’ânesse et de semblables remedes qui lui avoient été prescrits par Mr Rainssant sçavant medecin et antiquaire de Mons r de Louvoys [16], lors qu’un dernier coup et plus rude qu’il ne le faloit pour abattre un homme si usé, quoy qu’il n’eût que 38 ans, l’est venu coucher au tombeau. L’attachement sincere qu’il avoit à sa religion ne lui permettant pas de pouvoir en voir l’abolition, dans un lieu où il avoit eu le plaisir de la professer en liberté, il se retira sur la fin de 7 bre dernier en cette ville, où il ne sejourna (gardant / méme une espece d’incognito et ayant pris un appartement chez un ami hors des murs) que pour attendre Madame sa mère et une de ses sœurs, qui y arriverent quinze jours apres car soit qu’il crût que le lieu fût trop voisin de celui de l’orage qu’il fuyoit, soit qu’il fût dans le prejugé que la publication de nôtre histoire de la maniere dont elle a été produite [17] ne lui eût pas fait icy des amis, il se determina à aller plus loin ayant sur tout sa pensée à Zurich parce que Mr son pere y ayant eu droit de bourgeoisie, il esperoit de s’y pouvoir rehabiliter, ou d’y étre du moins mieux receu qu’ailleurs. Mais comme on alloit entrer dans l’hyver, et qu’on ne pouvoit pas se le promettre aussi doux qu’il l’a été, il faisoit son compte de le passer dans quelqu’une des villes du païs de Vaud, pour au printems passer plus avant dans la Suisse, et suivre sa pointe. Il s’embarqua donc sur nôtre lac avec sa chere compagnie pour aller à Morges, où il eut une si rude attaque de son oppression, qu’il crût que ce seroit la derniere, mais en étant un peu revenu, il pensa qu’il feroit mieux d’aller à Vevay autre ville que vous sçavez qui est sur le Leman, et dont le climat est doux, et le païs fort agreable. Et c’est de là qu’il plût à Dieu de le prendre à soy, car quoy qu’il y eût eu quelque relâche qui sembloit le flater un peu, un nouveau retour de sa foiblesse ne tarda pas de lui faire tout apprehender, il le fit sçavoir à Mr Moze à qui l’amitié donna des aîles pour aller à son secours, sur la fin du mois de 9bre, en execution de la promesse qu’ils s’étoient faite reciproquement de ne s’abandonner jamais l’un l’autre. Il le trouva fort accablé et dès le 20 eme de Xbre qu’il s’allita entierement, il ne s’agit plus que de le veiller toutes les nuits, et que de le preparer au départ par les visites charitables et les consolations qui lui furent administrées par divers pasteurs et entr’autres par Mr Vigo ministre auvergnat [18] qui fut lui méme ravi de le trouver dans des dispositions si chrétiennes à cet égard. Il y en auroit pour un petit volume de la nature de ceux qu’on a intitulez les dernieres heures de quelques grands hommes, si je voulois rapporter icy tout le tissu des apophtegmes de cet illustre mourant, il suffira de vous dire que ce fut le propre jour de Noël qu’il rendit son ame à ce Jesus qui étoit venu au monde pour le sauver à quoy regardant il profera ces paroles : « Mes vœux sont accomplis, c’est aujourd’huy le jour de la naissance de mon sauveur, et ce sera le jour de ma grande naissance, c’est aujourd’hui que l’on doit communier, et je m’en vay communier aussi. » Apres quoy il expira. Et parce qu’outre sa belle reputation, la douceur de sa conversation dont les habitans de Vevay avoient joüi dès le commencement d’oct[ob]re jusqu’au 25 eme de Xbre / lui en avoit acquis toute l’estime, il en fut generalement regretté et pleuré, et Mess[ieu]rs les magistrats, qui, aussi bien que les ecclesiastiques du lieu, furent en corps à son convoy funebre, voulurent par une grace particuliere qu’il fût ensevely dans le temple, pour rendre tout l’honneur qu’ils pouvoient à sa vertu. Mr d’Apples vieux medecin de Lausan[n]e [19], qui, à ce que je pense, ne vous est pas inconnu, est trop accoûtumé de réveiller sa muse en de semblables occasions, pour avoir souffert qu’elle demeurât muette en celle de la perte d’un homme de ce merite, et sur qui il lui avoit été aisé de transferer les sentimens d’estime et d’amitié qu’il avoit eus pour le pere, voicy ce qu’on m’en a remis, et dont vous ferez l’usage qu’il vous plaira</br> Epitaphium celeberrimi viri</br>d[omini] Jacobi Sponii</br>In æde sacra divi Martini</br>Viviaci sepulti.</br>Sponius hic situs est patriæ decus urbis et orbis</br>Nec capiebat eum quem brevis urna capit</br>Post exanthlatos terraque marique labores</br>Invenit hac portum corpus in æde sacrum</br>Mens nunquam saturata libris saturatur abunde</br>Plena ubi supremo pascitur ipsa bono.</br>Distichon chronologicum</br>A Patria longe Sponius denascitur æger</br>TeMpore qUo JesUs natUs In orbe fuit [20] </br></br>On attend encore à sa memoire quelque chose de la façon de Mr Patin [21], dont j’ay vû une lettre où il declare qu’apres son pere, il n’avoit point de meilleur ami au monde que le defunt, ce qui me fait croire qu’il mettra quelque chose au jour pour en honorer les manes. Il est fâcheux qu’une race si honnéte et si sçavante prenne fin en lui et qu’étant mort dans le celibat, on puisse dire de lui ce que l’adroit Crœsus dit pour gauchir* sur la demande du cruel Cambyse [22], qu’il n’étoit au dessous de son pere qu’en cela seulement qu’il ne lui étoit pas encore arrivé comme à Cyrus de mettre / au monde un fils digne de lui ; ce qui est d’autant plus sensible qu’il restoit seul des trois fils qui avoient survécu à Mr Spon le pere, et qu’ainsi la gloire de cette maison est pour ainsi dire tombée en quenoüille*. Je sçay bien qu’il y a des collateraux et entr’autres Mr Charles Spon [23] mon contemporain dans l’étude de la theologie, mais il a discontinüé de sorte qu’on pourroit dire selon moy que Sponiorum morte animum desponderunt musæ [24]. S’il faloit dire quelque chose de son corps, je me contenteroy de marquer qu’il étoit de belle taille, car pour sa physionomie elle a été si bien attrapée par celui à qui nous devons son effigie, qu’on voit au commencement de son Voyage de Grece [25], que quoy qu’il y soit representé vétu à la greque, je suis témoin que plusieurs personnes l’ont reconnu en rüe bien que sous un habit françois, par le seul indice de cette taille douce. Pour l’ame il l’avoit aussi belle et aussi grande qu’on la peut avoir, et de peur d’étre trop long, si je me vouloy étendre sur cent autres bonnes qualitez qu’on peut assurer qu’il possedoit, il me suffit de rendre témoignage à sa pieté et à sa charité, dont la premiere lui a fait fouler aux pieds des avantages de la terre, pour ne pas mettre en risque son salut, et la seconde le portoit assez souvent jusques à s’incommoder soy méme pour soutenir ceux qu’il croyoit en avoir besoin. Je passe aussi sur son erudition parce que je ne croy pas qu’il y aît personne qui en revoque en doute et l’étendüe et la beauté apres les excellens traits de critique dont on a vû ses ouvrages parsemez, il sçavoit et parloit diverses langues mortes et vivantes, et il écrivoit en la sienne des lettres d’un stile si aisé et si naïf quoy que concis, qu’il portoit en soy des preuves indubitables d’une conception des plus nettes et des plus justes, ce qui me fait souhaiter passionnément que les sçavans qui joüissoient de son commerce, se les communiquent, et en fassent autant des latines afin que l’on en puisse faire un corps. Et je ne doute point qu’il n’y en aît un tres grand nombre, qui n’a pas méme peu contribüé à l’accabler, puis qu’outre les amis de son pere avec qui il continuoit l’ancienne liaison, ses voyages ses ouvrages et ses belles connoissances lui en avoient fait tant de nouveaux de l’une et de l’autre communion, que je ne sçay comment il pouvoit suffire à entretenir toutes ces relations car il se trouve qu’il en avoit par tout païs. Comme en France outre Mr de Camps évéque de Glandeve [26] et les Peres La Chaize [27] et La Carry [28], avec Mr Chorier avocat au parlement de Dauphiné [29] Mr de Boësis prem[ie]r president en la Chambre des comptes du méme parlement de Grenoble [30], Mrs Teissier [31] et Graverolles avocats à Nîmes [32] et Mrs Vaillant, Galland, et Rainssant / illustres antiquaires [33]. En Italie non seulement avec le sçavant Mr Charles Patin medecin et professeur à Padoüe [34], lequel a toûjours tenu le prem[ie]r rang en son amitié, ce qui leur étoit hereditaire, mais encore avec Mrs Mezzabarba de Biragues [35], et Settala de Milan [36] dont les grands noms sont connus, Mr Magliabecchi bibliothecaire du grand duc de Toscane [37], et Mr Bon le Candiot docteur aux droits à Venise [38], en Angleterre outre Mr le chevalier Wheler le compagnon de ses voyages [39], avec Mr le docteur Burnet chapelain du feu roy de la Grande Bretagne [40], et en Hollande il en avoit avec Mr Drelincourt professeur en medecine et en anatomie à Leiden et medecin de S[on] A[ltesse] R[oyale] Madame la princesse d’Orange [41], outre que vos Nouvelles Monsieur ont assez donné à connoître au monde qu’il avoit aussi des habitudes avec vous. Je ne suis pas bien informé de celles qu’il avoit en Allemagne et en Suisse, mais je sçay qu’il favorisoit quelquefois de ses lettres quelques uns de nos Genevois, comme Mr Mestrezat [42] professeur en theologie chez qui il avoit autrefois logé par droit de connoissance et d’amitié, Mrs les freres Jean et Theophile Bonnet medecins de reputation [43], Mr Choüet pour lors professeur en philosophie, et presentement conseiller d’Etat [44], et Mr Michel Turrettin professeur aux langues orientales qui étoit son coetanée* [45] ; il me faisoit aussi l’honneur de répondre à quelques unes des miennes et de m’envoyer de ses ouvrages, mais celui des nôtres qui avoit le plus de part à sa confidence, étoit Mr Jaques Flournoy [46] ministre qui avec ce qu’il a beaucoup d’erudition, est d’un rare talent pour le discernement. Sa plus étroite liaison aussi dans sa patrie outre Mr le medecin Falconet qui lui tenoit lieu comme d’un second pere [47] et Mr Moze [48] l’amy de son cœur, étoit avec Mrs Garnier [49] et de Ville [50] medecins aggregez comme lui à la faculté de Lyon , avec lesquels il tenoit des assemblées tous les me[r]credis à une heure apres midy, pour conferer sur les diverses maladies qu’ils avoient pû voir pendant la semaine, et rapporter leurs observations ; et c’étoit là que tous les pauvres qui avoient quelques incommoditez avoient coûtume de se rendre, pour consulter ces trois medecins, qui faisoient aussi entr’eux plusieurs preparations de chymie. Il faut finir par ses ecrits en remarquant qu’outre ceux dont vous avez fait mention dans vos Nouvelles de juillet 1684 et que j’ay rapportez la plûpart cy dessus[,] on lui doit la traduction latine qui a paru depuis peu du Traité de l’usage du thé du caffé et du chocolate [51], l’edition d’un Traité des melons par Mr Pons [52] ; celle du Voyage de Congo [53] ; et apres / tout celle du Voyage d’Italie trouvé dans les memoires de feu Mr l’avocat Huguetan [54], où Mr Spon outre qu’il a eu soin de l’economie de la piece, a ajouté deux listes des sçavans et des curieux de toute l’Italie, et on regrette extrémement qu’il n’aît pas vû achever l’edition du Glossaire de Mr Du Cange sur laquelle il presidoit à Lyon [55], pour obliger ce sçavant autheur avec qui il correspondoit aussi, de méme qu’avec Mrs les abbéz Ménage [56] et Nicaise [57].</br>Mais pour venir à ce qui est proprement de son cabinet il y a laissé ce qui suit, et qu’on pourra peut étre recouvrer un jour. Quantité de lettres latines que Mr Spon le pere avoit écrites à plusieurs sçavans de l’Europe, avec les réponses dont il avoit fait le choix. Plusieurs lettres de feu Mr Guy Patin dont il pretendoit de donner un second volume, comme on lui étoit obligé de la publication du premier [58]. Diverses vies de plusieurs grands personnages à l’imitation de Plutarque comme d’ Homere, de Virgile, d’ Epicure, d’ Hippocrate de Galien et d’autres qu’il auroit mises au jour d’abord qu’il y en auroit eu assez pour un juste volume [59]. Une addition à l’ Abbregé de l’histoire de Lyon, qu’il avoit dessein de faire reimprimer [60]. Quantité d’observations de medecine. Beaucoup de planches de cuivre toutes gravées pour un 2 d volume de ses Miscellanea [61]. Pour ce qui est au pouvoir de Mr Moze et qu’il lui a méme legué avec d’autres choses, il se reduit à ces trois articles Des memoires pour un 2 d volume de ses Miscellanea. Quelques observations de medecine. L’extrait des observations qu’ils avoient faites ensemble sur les eaux minerales, pendant leur voyage fait dans les mois de may, juin, juillet et aoüt 1683, aussi bien que celles qu’il avoit faites ensuite sur le méme sujet avec Mrs Garnier et de Ville [62]. Si le temps nous découvre encore quelque chose, vous en recevrez avis de celuy qui est, mon cher Monsieur, tout à vous Minutoli Geneve le 15 de fev[rie]r 1686us Minutoli Geneve le 15 de fev[rie]r 1686)
  • Bianchini, Francesco - Numismata descripta - Verona, Biblioteca civica - ms. 905 (771)  + (Vérone, Biblioteca Civica di Verona (Ms. 9Vérone, Biblioteca Civica di Verona (Ms. 905 [771]) : Numismata descripta, description du médaillier de</br>Bianchini, autographe), 2 vol. de 94 p. chacun, 19 x 13 cm. Le vol. I décrit la collection de monnaies</br>romaines, Patin est souvent cité, Spon parfois ; le catalogue est inachevé (une page seulement de petits</br>bronzes, s’arrête à Auguste). Le vol. II compte quelques monnaies grecques et quelques modernes</br>(information : Jean Guillemain). modernes (information : Jean Guillemain).)
  • William Nicolson - 1704-11-11  + (William Nicolson, 11 Nov. 1704: "Sir A. Fountain saies he never had any notice of Mr Sutherland’s Draughts of Saxon coins" (Jones - Holmes 1985, p. 224, Burnett 2020b, pp. 804, 1606).)
  • Abraham Ortelius - Joost Lips - 1592  + (Without date but likely 1592 [year of the Without date but likely 1592 [year of the death of Filips van Winghe] (from Antwerp): “Litteras tuas ad Monavium et ad me accepi. Illas eras ad eum diss (?). Salutem a Schotto viro bono per te lubens audivi. Ad eundem scripsi ante aliquot dies, et ad(?) tuas ad Monavium excusas. Queris quid nummorum apud me cum cruci. (?) unquam, an ante ad tuum gis(?), tu videris. In primis mihi magnus (?) est, antiquas extra controversam : in (carris ?) adversa pars Heraclius Imp. in aversa, idem in carra triumphali, cum cruce in dextra. Iustiniam etiam eaque et (am ?à), dextra globulus tenens, cui in fixa crucis imago. Non te fugere puto que (?) habet Sindas on verbo Iustinianus. Faicent illa ad hunc numum. Aurens (?) hic ab (aversa) parte victoria sigillum prefert qu(ae) sinistra eumdem globulum cum cruci habet, in sinistra hastam, in cuius apice etiam crucem, sed forma hac laterali. a) Prorsus eiusdem symboli Tiberium P. Alium etiam Hercali(em) cuius pars aversa crucis figura quam in ora huius via(?). b) Alium Iustinianum, item Zenonem ; utrumque cum victoria, cuius dextra crucem hac forma. c) Valens, et Valentinianus quoque pater (meos) quibus ab altera parte imperator, qui dextra labarum cum (chrisme), et sinistra victoriosam. Atque mihi septem ex auro. Ex aere hi sunt apud me, Focas, Theophilus, cum globulo et cruce. Alter Theophilus cum rucis magior(?) galea imposta. Gratianus item, cui ab altera parte imperator paludatus, cum labaro, in quo (chrisme). Decentius, etiam Magnentius, quibus ab altera parte hoc (?) Hos omnis ex aere autem. Ex argento imus Valentinianus” (Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, Manuscrits, Ms. III 1483, f° 38; information given by Jeannine De Landtsheer).ormation given by Jeannine De Landtsheer).)
  • Eckhel, Joseph - Notebook 81 (in-folio)  + (Woytek 2022a, p. 379 and 381: "Among the mWoytek 2022a, p. 379 and 381: "Among the momentous manuscript volumes in Eckhel’s hand preserved in Vienna, three books in modest, but durable half-leather bindings, whose boards are covered in 18th century monochrome (red or brown) marbled paper, stand out because of their in-folio format (archives nos. 79–81). Stylistically, their bindings are very similar to that of the quarto notebook no. 7, described above. These three folio notebooks – highly diverse in character between themselves – are dedicated to three different classes of ancient coins. All are characterised by more or less generous right- or left-hand margins left blank for additions and corrections; this is a feature they share with the quarto notebooks nos. 5–7, incidentally. ... The folio notebook no. 81, by contrast, is extremely heterogeneous in content: it comprises an alphabetical listing of Roman emperors, empresses and usurpers, from Achilleus to Zoe (pp. 1–229), whose names were probably not written by Eckhel himself. He made minor notes – mostly giving bibliographical references – underneath some of these underlined headers, but many spots are left blank. This list is followed, on pp. 231–236, by a text and various notes on fake Roman imperial coins that provided the material for the “praefatio” of volume 6 of the Doctrina. Furthermore, the manuscript contains, among other things, a list of questions about coins from international collections that had come up in the course of Eckhel’s work, ordered by the cities or countries where the respective coins were kept (Florence, Paris, Naples, England etc., pp. 244–252), as well as a few pages with excerpts from books on ancient architecture published in the 1760s (pp. 253–255)".ure published in the 1760s (pp. 253–255)".)
  • Eckhel, Joseph - Notebook 80 (in-folio)  + (Woytek 2022a, p. 379, 380-381: "Among the Woytek 2022a, p. 379, 380-381: "Among the momentous manuscript volumes in Eckhel’s hand preserved in Vienna, three books in modest, but durable half-leather bindings, whose boards are covered in 18th century monochrome (red or brown) marbled paper, stand out because of their in-folio format (archives nos. 79–81). Stylistically, their bindings are very similar to that of the quarto notebook no. 7, described above. These three folio notebooks – highly diverse in character between themselves – are dedicated to three different classes of ancient coins. All are characterised by more or less generous right- or left-hand margins left blank for additions and corrections; this is a feature they share with the quarto notebooks nos. 5–7, incidentally. ... No. 80 is quite different. It is inscribed "Moneta Romanorum” on the first page, where it also says: “De hac agetur sectionibus binis”; thereafter follows a short general characterisation of these two sections, the most important part of which is a definition of the somewhat ambiguous term “numi consulares”. This notebook, the pages of which are numbered sequentially in Eckhel’s hand (up to p. 239), unlike those of volume no. 79, contains material on various aspects of Roman Republican coinage, to be used for volume 5 of the Doctrina that was to deal with the “numi consulares et familiarum”, as Eckhel put it in 1795. Apart from notes for or drafts of introductory chapters, the volume most importantly contains, on pp. 81–230, a basic draft for the “Catalogus familiarum”: the alphabetic catalogue of pre-imperial Roman coins with personal names, ordered according to gentes. This central part of notebook no. 80 was made immediately accessible by cutting off the lower corners of the pages (fig. 3). It is possible to recognise the draft preserved in Eckhel’s notebook in the final version published in the Doctrina, although, both for the introductory chapters and the discussion of the coinage, the text seems to have been rewritten completely. The text in volume no. 80 is partly crossed out vertically – doubtless by Eckhel himself, exactly as in notebook no. 7 described above, in order to mark content that had been transferred to the final manuscript, when he prepared the latter, rephrasing the original text. For example, the crossed-out text on p. 3 of notebook no. 80, under the headline “De Magistratu A. A. A. F. F. stante republica”, may be seen to have provided the basis for the beginning of chapter V of the Doctrina, entitled “An ad solos IIIviros pertinuerit monetae negotium”.os IIIviros pertinuerit monetae negotium”.)
  • Eckhel, Joseph - Notebook 79 (in-folio)  + (Woytek 2022a, p. 379-380: "Among the momenWoytek 2022a, p. 379-380: "Among the momentous manuscript volumes in Eckhel’s hand preserved in Vienna, three books in modest, but durable half-leather bindings, whose boards are covered in 18th century monochrome (red or brown) marbled paper, stand out because of their in-folio format (archives nos. 79–81). Stylistically, their bindings are very similar to that of the quarto notebook no. 7, described above. These three folio notebooks – highly diverse in character between themselves – are dedicated to three different classes of ancient coins. All are characterised by more or less generous right- or left-hand margins left blank for additions and corrections; this is a feature they share with the quarto notebooks nos. 5–7, incidentally. No. 79 contains notes on the autonomous and Roman provincial coinage of cities of the Mediterranean in strictly alphabetical order (from Aba to Zilia), mostly based on the numismatic literature, and to a much lesser extent on collections. Entries for several different cities may be found on the same page, but Eckhel left room between entries that allowed him to add information subsequently, which he did assiduously, evidently over a certain period of time.61 The information contained in this notebook is basic, often not very detailed, and a far cry from what was published in the Doctrina from 1792 onwards. Its concise nature may be exemplified through the first entry, for the city of Aba in Caria (see fig. 2): it comprises only two manuscript lines, with reference to two coins of that city published by Joseph Pellerin in 1767, whereas the passage on Aba in volume 2 of the Doctrina occupies as many as 25 lines of one column of printed text. The second entry of the notebook’s first page, on Abacaenum in Sicily, comprises two later additions in which Eckhel notes specimens of this city viewed by him in the collections of Dominique Magnan (1731–1796) and Abbé Bertrand Capmartin de Chaupy (1720–1798) during his stay in Rome in 1772/1773; other references to the Chaupy collection are to be found in the volume as well. Secondary notes (partly in somewhat darker ink) added gradually to the entries on several cities throughout the manuscript refer to coins published in Eckhel’s Numi veteres anecdoti of 1775. These additions provide definitive termini ante for the start of this large manuscript notebook: when the original entries in volume no. 79 were written, Eckhel did not yet have information on the coins that he saw in Rome in 1772/1773 or that he published in 1775. This dating agrees with a secondary entry that Eckhel inserted for the coinage of Scodra, since it refers to coin images sent to him by his correspondent Giacomo Gradenigo (1721–1796) in the autumn of 1776. Hence, no. 79 must be an early notebook, almost certainly commenced by Eckhel before he left for Italy in August 1772, which he possibly used during his work in Italian collections and which he continued to add to after 1775. The latest terminus that I have been able to determine for the active use of this notebook is the existence of (the manuscript of ?) Eckhel’s Catalogus of the imperial coin collection, published in print in 1779, to which he refers. To the left of most of the city names in this notebook, small crosses were added by Eckhel subsequently – presumably indicating that the information in the respective entry had been used in (or transferred to) another context. Whether the notes in this notebook may be identified as the early “commentarii nulla tum adhuc lege atque ordine” that Eckhel prepared just for himself, as he wrote in 1786, is not sufficiently clear. wrote in 1786, is not sufficiently clear.)
  • Eckhel, Joseph - EKHELII DOCTRINA MANUSCRIPT, Manuscript 121 (in-4°)  + (Woytek 2022a, p. 381 and 384: "Finally, thWoytek 2022a, p. 381 and 384: "Finally, there is an impressive set of three thick manuscript volumes in quarto format in somewhat worn 19th century half-leather bindings with gilt spines and labels stating “EKHELII [sic!] DOCTRINA MANUSCRIPT”, vols. 1, 2 and 3; the lower label of the third volume adds “ET SYLLOGE”. These volumes (nos. 120–122 in the archives: fig. 4) contain densely inscribed pages in Eckhel’s handwriting, numbered by Eckhel himself; however, as in the volumes described previously, generous margins were left (and very frequently used) by the author for additions and corrections. As we will see shortly, the manuscript is not complete. It is evident that the set of manuscript volumes nos. 120–122 in its present state is the result of the decision, taken after Eckhel’s passing, to have Doctrina-related posthumous papers in his hand bound together. Evidently, whoever was responsible for these volumes tried to bind the quires in the order corresponding to the printed work, although some blatant mistakes in the sequence are evident; heterogeneous additions were bound in at the end of volume no. 122... Apart from the latter, no manuscripts for the Greek section of the Doctrina following the coinage of Side in Pamphylia are preserved. The monumental manuscript no. 121 covers exclusively Roman coins from the Late Republican issues of the triumvir r. p. c. Lepidus down to the late Roman coinage in the name of Helena. Like no. 120, this volume is not numbered sequentially throughout, but again by section, although there are just three of them: the first comprises the coinage of Lepidus and Mark Antony (63 pages), followed by 1380 pages on imperial coins from Julius Caesar to Helena. A separately numbered 40-page section “Supplementa ad numos Augustorum” is bound in after p. 120 of the imperial section. Hence, the text of this manuscript volume corresponds to text printed in volumes 6 to 8 of the Doctrina. More precisely, it starts with Lepidus (p. 34 of the Doctrina’s volume 6) and extends down to the coinage treated on pp. 142–145 of volume 8. The first lines of the first page of manuscript no. 121 make it clear that, again, we are looking at a draft, and not at the final manuscript from which the Doctrina was typeset. Here Eckhel remarks that the coins of, inter alios, Brutus, Cassius and Sextus Pompey, which precede the treatment of the coins of Lepidus in volume 6 of the Doctrina, “are to be taken from the treatise on families” (“sumendi ex tractat. de familiis”) – another reminder of the author to himself, for the preparation of the final manuscript; the “tractatus de familiis” may be identified as the manuscript notebook no. 80 in the archives of the coin cabinet. Despite this, it seems that the text as </br>we find it in the Roman part of the preserved manuscript is, by and large, relatively close to the text as printed. It is plausible to assume that manuscript no. 121 represents an advanced draft.ript no. 121 represents an advanced draft.)
  • Eckhel, Joseph - EKHELII DOCTRINA MANUSCRIPT, Manuscript 122 (in-4°)  + (Woytek 2022a, p. 381, 384-385: "Finally, tWoytek 2022a, p. 381, 384-385: "Finally, there is an impressive set of three thick manuscript volumes in quarto format in somewhat worn 19th century half-leather bindings with gilt spines and labels stating “EKHELII [sic!] DOCTRINA MANUSCRIPT”, vols. 1, 2 and 3; the lower label of the third volume adds “ET SYLLOGE”. These volumes (nos. 120–122 in the archives: fig. 4) contain densely inscribed pages in Eckhel’s handwriting, numbered by Eckhel himself; however, as in the volumes described previously, generous margins were left (and very frequently used) by the author for additions and corrections. As we will see shortly, the manuscript is not complete. It is evident that the set of manuscript volumes nos. 120–122 in its present state is the result of the decision, taken after Eckhel’s passing, to have Doctrina-related posthumous papers in his hand bound together. Evidently, whoever was responsible for these volumes tried to bind the quires in the order corresponding to the printed work, although some blatant mistakes in the sequence are evident; heterogeneous additions were bound in at the end of volume no. 122... Manuscript volume no. 122, by contrast, is much more heterogeneous. Like volumes 120–121, it is not numbered continuously, but by section. The text preserved in no. 122 does not directly continue from manuscript no. 121: the draft for the chapter on the coinage from Iovianus to Constantine XIV (= XI) Palaeologus is missing; manuscript no. 122 starts with the chapter “Pseudomoneta” of volume 8 of the Doctrina (pp. 1–64 in Eckhel’s manuscript numbering), after which we find an essay “De tribunicia potestate” (pp. [1]–65), corresponding to chapter 10 of the “Observata generalia” at the end of the same volume. It is followed, after blank leaves, by pp. 41–177 of additions that continue the “Supplementa” section from manuscript no. 121. Manuscript no. 122 further contains proofs of pp. 273–496 of volume 8 of the Doctrina with many corrections in Eckhel’s hand; each quire is marked “Corr. 1.” by him on the last page, indicating that these were the first proofs. As indicated on the spine label, manuscript volume no. 122 is rounded off by the 1786 Sylloge I: not in manuscript form, however, but in the form of printed sheets of the final product (complete with the ten plates), albeit with a very few manuscript additions in Eckhel’s hand (unfortunately cropped by the bookbinder), supplying minor additional references to ancient authors or the secondary literature"cient authors or the secondary literature")
  • Eckhel, Joseph - EKHELII DOCTRINA MANUSCRIPT, Manuscript 120 (in-4°)  + (Woytek 2022a, p. 381-384: "Finally, there Woytek 2022a, p. 381-384: "Finally, there is an impressive set of three thick manuscript volumes in quarto format in somewhat worn 19th century half-leather bindings with gilt spines and labels stating “EKHELII [sic!] DOCTRINA MANUSCRIPT”, vols. 1, 2 and 3; the lower label of the third volume adds “ET SYLLOGE”. These volumes (nos. 120–122 in the archives: fig. 4) contain densely inscribed pages in Eckhel’s handwriting, numbered by Eckhel himself; however, as in the volumes described previously, generous margins were left (and very frequently used) by the author for additions and corrections. As we will see shortly, the manuscript is not complete. It is evident that the set of manuscript volumes nos. 120–122 in its present state is the result of the decision, taken after Eckhel’s passing, to have Doctrina-related posthumous papers in his hand bound together. Evidently, whoever was responsible for these volumes tried to bind the quires in the order corresponding to the printed work, although some blatant mistakes in the sequence are evident; heterogeneous additions were bound in at the end of volume no. 122... To sum up, manuscript volume no. 120 seems to document (at least) three different stages in the preparation of Eckhel’s manuscript for parts of the first three volumes of the Doctrina. Firstly, the initial draft, which is without any doubt represented by the first, overarching section, whose text is almost entirely crossed out, and most probably also by the long section on the coinage of Asia, numbered 401–640. Secondly, an advanced draft, which was much closer to the final product, but still not perfect: this stage is clearly represented by the pages 1–48 on the Cimmerian Bosporus, Pontus and Paphlagonia, for example (which are also written on paper of a slightly different quality as compared to the major part of the volume). Thirdly, a tiny sample of Eckhel’s fair copy that was handed to the printer and bears the latter’s marks in red chalk – just six leaves of text, two on the island coinage from Ceos to Delus and four on coins of Cilicia, from Anazarbus to Antiochia incerta.icia, from Anazarbus to Antiochia incerta.)
  • Simonds D'Ewes - Antão de Almada - 1644-11-04  + (Writes that his collection is 'variisque, Writes that his collection is 'variisque, antiquis Numismatis Celticis, Teutonicis, Arabicis, Graecis, Romanis, Anglo-Saxonicis et Neustro-Anglicis constans’ [composed of various ancient Celtic, German, Arabic, Greek, Roman, Anglo-Saxon and Anglo-Norman coins] (BL, Harley MS 377, f.156; translation from Burnett 2020b, p. 513)6; translation from Burnett 2020b, p. 513))
  • Württemberg, Eberhard III von - without title  + (Wurtemberg, Eberhard III de (1614-1674) -SWurtemberg, Eberhard III de (1614-1674)</br>-Stuttgart, Landesbibliothek, cod. Hist. 2°, 204 : ensemble d’inventaire manuscrits réalisés par Patin, avec des descriptions sommaires, sans aucune illustration ; inventaire de la collection d’Eberhard III de Wurtemberg (F. Waquet 1989, p. 988, note 42).temberg (F. Waquet 1989, p. 988, note 42).)
  • Charlotte Sophie Bentinck - Louis-Robert de Saint-Victor - 1788-11-30  + ([0022; f. 1v] Entreprendre après cela, Mon[0022; f. 1v] Entreprendre après cela, Monsieur, de repondre à cette lettre, qui me confond, n’est en verité pas une chose aisée, et j’en sens en ce moment l’enorme difficulté.</br>Il vous a plû, par une vivacité d’imagination, que nous autres froids allmands concevons à paine, mettre un merveilleux à la composition de mon mauvais catalogue, qui</br>n’est, en realité, qu’une operation simple, et n’ayant requis, que de la patience et du gout pour ces objets. Je vous assure, Monsieur, non pour faire la modeste, ou pour pomper de</br>nouveaux compliments, que je n’ay nulle idée, ny du latin, ny du grec; que celle, que la longue attention, que j’ay dû faire aux inscriptions des medailles, m’ont rendu locales.</br>Ma première jeunesse a été sujette à des vives amertumes. J’ay passé le meilleur tems de ma vie, de 20 ans jusqu’à 32 ou 33 ans, dans le fond d’assez belle terres, mais rongée de</br>chagrins, m’éloignant volontiers de la société, que j’aimais naturellement. On me conseilla, de m’occuper de medailles antiques. J’y repugnois! On me donna sept ou huit Empereurs</br>en bronze; on exigea seulement de moy, d’en completter, la douzaine. J’etablis pour cela une petite correspondance à Hamburg. Je reussis; je m’accoquinai; j’en voulus davantage;</br>je me donnai le pére Jobert; Science de Medailles; le hazard me fit acquerir quelques douzaines de morceaux à une auction; parmi lesquelles je trouvai deux ou 3. vraiment</br>belles Grecques. Elles me tournoient la tête; [f. 2r] je me souviens, entre autre, que passionnée uniquement alors, pour le Dramatique François; je croyois mener Cesar et sa fortune,</br>en me trouvant en possession de la tête de la mechante Cleopatre, belle mère de la tout aussi mechante Rodogune. De ce moment, Monsieur, la passion s’en mêla, et vous</br>connoissez le train, dont elle fait aller; sur tout quand quelques gouttes de sang françois eperonnent le flegme germanique. Les difficultés animent! J’en trouvai beaucoup à me</br>procurer et des medailles, et même à comprendre, quels livres me seroient necessaires. Enfin j’eus des hazards heureux de façon, que l’âge de 30. ans, je me trouvai dame souveraine, d’autour de 2500. medailles imperiales et consulaires. Je me croyois un Croesus. Mes affaires m’appelèrent, pour mes peches, à diverses cours. Je quittai en soupirant, je perdis de vuë mes empereurs romains, pour l’antichambre moderne de souverains, mes contemporains, qui ne m’inspiroient rien de semblable. Enfin la même chaine des circonstances me conduirit à Leipzig, ou residoit une Duchesse de Courlande, tante de me mère; c’est là, que je me depiquai, des malices de l’etoile, et que je repris, avec delice, mon gout favori. J’y fis une connoissance et liaison particulière avec les deux plus grands antiquaires et numismatiques de l’Allemagne alors, [00023; f. 2v] le Professeur Christ, et le Bibliothecaire et Cr de Cour Richter à la tête du Cabinet du P. Electorat de Sàxe. J’eus même la bonne fortune, de contribuer à y découvrir, le depuis si celebre Winckelman, enseveli encore dans l’obscurité; j’en fis aviser ces messieurs, qui l’ignorirent, et qui l’ont mêné ensuite au point de s’elancer dans la carrière, ou il a brillé si lumineusement. C’est</br>à une année et demie de sejour à Leipzig, que j’ay dû la possibilité de mettre une sorte de metode dans mes petites possession, l’acquisition des principaux livres requis pour me diriger, et nombre de correspondance pour satisfaire à ce gout passionné. La complaisance de ces messieurs n’avoit point de bornes. Ils me traitèrent, comme vous, Monsieur, mais sans y mettre l’encens flatteur, que la gentilesse françoise seule sait prodiguer. Ils me donnerent des conseils, des directions, de nouveaux chagrins, de nouvelles entraves, vinrent m’arracher à ce delicieux séjour, pour me ballotter au gré de la fortune. Il fallut m’occuper d’avocats au lieu de rois Grecs et de consuls Romains! Tems et moyens tout fut absorbé par Cujas et Bartole; dont les deplaisantes faces, furent substituées, pendant sept ou huit ans, aux phisionomies radieuses des Brutus et des Pompées. Un nouveau caprice d’etoile, après un semestre antique de 7. ou 8. ans [00024; f. 3r] me rapprocha de mes penates, et me percha dans un vieux château, digne de la fée Urgele, et de l’enchanteur Merlin. Mrs Christ et Richter etoient morts tous deux. Mais mon cabinet avoit joliment augmenté, et j’avois des correspondances instructives. Les ouvrages de Pelerin parurent alors et firent le charme de ma retraite. Le Ct de Cailus daigna descendre jusqu’à correspondre avec moy. Ma curieuse ignorance l’attendrit. Il m’a envoyé plusieurs jolis morceaux Egyptiens; en recompense d’une amulette Persienne, que j’avois eu le plaisir de luy envoyer. Sà mort vient m’enlever aussi cette flatteuse consolation. Mais je trouvois dans la petite ville, ou je passai 7. ans, un medecin vraiment savant, et genie quasi universel. Sans être anticaire il possedoit si foncièrement les langues et l’histoire, qu’à l’aide de ma petite collection, il le devint en peu de tems, au point d’etonner par son stile latin, et ses observations numismatiques, le Cte de Cailus, et Mr Pelerin, que j’avois mis à même de juger de sa façon de penser c’est luy, qui me fit sentir la necessité absolue, de mettre de l’ordre dans mon cabinet, qui avoit deja quelque consistance. Il me donnoit deux ans, pour en venir à bout; je l’achevai deux ou 3. ans après, à Hamburg, en 4. ou [00025; f. 3v] 5. mois. Il fallut encore quitter mon vieux chateau, mon admirable guide, et venir ici; ou je trouvai pour seule et unique ressource, la femme d’un courtier, personne vraiment singulière, et bien au dessus de son état, tant par ses connoissances, qu’elle ne devoit qu’à elle même, que par un caractère aimable et estimable, qui auroient orné un princesse. Elle avoit la même marotte que moy pour l’antique, elle avoit une petite collection de medailles, qu’elle preferrit à une fort considerable moderne à deux grands cabinets de curiosité et d’histoire naturelle. Elle savoit quelques mots latins, le françois, l’italien; nous travaillames ensemble avec ardeur, à ranger non seulement nos petit trésors, mais encore à en faire le catalogue; elle en allmand, moy en françois. J’eus fait, en 7. mois de tems, mais la cruelle mort, qui me poursuivoit, etoit encore venue me l’enlever, au milieu de mon ouvrage. Je dois ajouter une petite circonstance plus singulière, que tout le reste, et qui doit etonner reellement, bien plus que mon peu de patience, et une excellente loupe qui au fond a seule le merite, de tout ce, que j’ai pû faire, qui vous a pu etonner; c’est d’un phenomene feminin, Monsieur, qu’il me faut vous parler. J’avois il y a 18 ou 19. ans, fait venir de ma patrie du Duché d’Oldenburg, de [00025; f. 4r] la petite ville de Delmenhorst une simple servante, fille d’un habile menuisier. Insensiblement cette fille etoit venue dans ma chambre, et chargée souvent de porter, et de remporter les laÿettes de mes medailles. Son ordre, sa proprété, son attention à les remettre en place, me frappèrent. Bientôt elle s’accoutuma, à rester en tiers entre la femme du courtier et moy, quand nous travaillons ensemble. Nous nous l’envoyons frequemment avec des eclaircissemens et des livres, que vous dirois je enfin, Monsieur, cette même fille le croyez vous? Sans savoir ni le latin, ni le grec, ni le françois, ni l’histoire, connoit bien mieux ma collection de medailles que moy. Je l’envoirai au milieu de la nuit chercher, tel morceau, qu’il vous plaira, en le nomment seulement, et surtout, si je l’indique dans le catalogue; elle connoit chaque morceau; elle est au fait des lacunes; elle discerne au juste les suspects, les fausses; c’est elle, qui entretient dans mon cabinet, l’ordre le plus scrupuleux et la plus grande proprété, qui y range, sans le moindre erreur, les morceaux, que j’acquiers, qui, quand on m’en propose, me dit «Vous avez tel morceaux, ou vous ne l’avez point, et en voila la difference». C’est elle, qui, quand je copiois les inscriptions latines ou grecques, m’observoit, par [00026; f. 4v] dessus l’epaule, et me disoit «Cette lettre n’y est pas, ou est autrement, vous vous trompez». Enfin, Monsieur, c’est une chose, qu’il faut voir, pour le croire, qui etonne tout Hamburg. Aussi s’appelle telle partout, Monsieur, le professeur Marie, et merite-t-elle d’être connue de vous puisque reellement elle est un vrai metheore. Quel horrible travail vous m’avez fait faire, Monsieur, parler de moi même, pendant une heure!ur, parler de moi même, pendant une heure!)
  • Granville Sharp - John Sharp III 1762-01-02  + ([About enquiring about Coronation medals] [About enquiring about Coronation medals]</br>‘I enquired of Mr Tanner (an Engraver of the Mint) for the Farthings which you want: he has got (I think) one of each sort, but they are very imperfect, & what is still worse, he says he dont</br>chuse to part with them.’ (Burnett 2020b, p. 1503)e to part with them.’ (Burnett 2020b, p. 1503))
  • Ralph Thoresby - John Sharp - 1699-04-25  + ([About gun money] (Burnett 2020b, p. 1505))
  • Ralph Thoresby - John Sharp - 1702-08-22  + ([About the discovery of Roman remains] (Burnett 2020b, p. 1505))
  • Robert Sibbald - Robert Wodrow - 1702-10-15  + ([In response to [[Robert_Wodrow_-_Robert_Sibbald_-_1702-10-06|Wodrow's letter of 6 October 1702]], Sibbald and Sutherland think that it is a coin of Crispus] (Burnett 2020b, p. 1547))
  • Smart Lethieullier - Charles Lyttelton - 1753-01-20  + ([On a visit to Oxford, Lethieulliuer saw] [On a visit to Oxford, Lethieulliuer saw] 'the Cabinet of Medals left by Arch: Bishop Wake to Christ: Church in Oxford, for I find by some Notes I took when I carefully Examin'd that Cabinet with Drs. Fanshaw & Gregory that I observed many very Curious Imperial Medals struck in Egypt.' (Burnett 2020b, p. 1293)als struck in Egypt.' (Burnett 2020b, p. 1293))
  • James Sutherland - Robert Wodrow - 1702-01-08  + ([Reply to [[Robert Wodrow - James Sutherland - 1701-12-29|letter of 29 December 1701]], but does not mention coins] (Burnett 2020b, p. 1546))
  • Philipp von Stosch - François Fagel 1712-08-02  + ([Thanks Stosch for his letter of 10/21 Jul[Thanks Stosch for his letter of 10/21 July]</br>Je suis curieux a voir le catalogue des medailles modernes du Comte de Pembrook, car je me persuade qu’il y aúra pàrmy celles là de fort belles et rares…. (Nationaal Archief, Collectie Fagel 1.10.29, 2025; Burnett 2020b, p. 1638)gel 1.10.29, 2025; Burnett 2020b, p. 1638))
  • William Nicolson - John Sharp - 1698/9-03-16  + ([Thanks for ‘excellent Notes on the Scotch coins’; makes some observations] (Burnett 2020b, p. 1505))
  • William Nicolson - John Sharp - 1699-04-21  + ([Thanks him for a point he hopes to correct in his book.] (Burnett 2020b, p. 1505))
  • Roger Ascham - Edward Raven - 1551-01-20  + ([at Brussels] for this ye must consider, i[at Brussels] for this ye must consider, in every town I came in, as leisure would serve, I went in to see all abbeys, friaries, churches, libraries, stationers for books, goldsmiths for old coins.<br></br>...<br></br>[at Maastricht] and here, at a goldsmith’s shop, I saw the first old coins after I came out of England. The goldsmith told me that a great sort were found at Tongres, which we past from the day before.<br></br>...<br></br>[at Binga = Bingen] Here I bought two fair coins of Diocletian and Maximian for a stiver.<br></br>...<br></br>[at ‘Estling’ = Esslingen] At Estling we lay that night, after my custom I went to the goldsmiths’ shops, and with one man I found plenty of coins, but all brass. I went to his chamber, and for twelve I would have given him two French crowns: five of them were of AUGUSTUS: the other of the xii first emperors: I never saw goodlier.... The man of his gentilness gave me an Augustus, having on one side Divus Augustus Pater, and on the other Providentia. He told me that the bishops of Trivers and JOANNES JACOBUS FUCCARUS the rich merchant of Augusta, and an earl that is with the emperor, doth seek all old coins they can, both gold, silver, and brass. The three great lords make old coins here too dear except our new money were more plenty and better. I saw here at Augusta three coins emongs a great number, for which I proffered half a crown a-piece. The first was thick, having of one side four running horses, on the other side an elephant, and this word Caesar only in fair letters. The second was fair and thick, with this name P. CLODIUS: the third was LIBO SCRIBONIUS. Some of you will jest at my diligence in seeking thus old monuments: but I do it for the remembrance veteris et amici et praeceptoris nostri Mr PEMBER, whom I do not forget, ...<br></br>...<br></br>[at ‘Gamsbroug, the baiting town betwixt Ulma and Augusta’ = Günzburg] I bought of a goldsmith, a Jew, two notable coins in silver, a Nero that weighs about iiii oz and a Domitian with anchora Aldi. He let me see an Hebrew coin of gold, old and fair, but he would not sell it.nchora Aldi. He let me see an Hebrew coin of gold, old and fair, but he would not sell it.)
  • Isabella Twysden - Simonds D'Ewes 1649-08-20  + (as for those peeces (which I know he can nas for those peeces (which I know he can not yet come to) he will look if he have any of ed: the 3rd you have not, but those few he hath were all left him by his good mother which makes him and me not so willing to part with them yet he will be sure as sure as possibly he can to recover them, and shew such as he hath unto you… (BL Ms Add 22916; Burnett 2020b, p. 1188) (BL Ms Add 22916; Burnett 2020b, p. 1188))
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  • Jean-François Séguier - Esprit-Claude-François Calvet - 1781-6-11  + (lettre du 11 juin 1781 (de Nîmes) : « Avanlettre du 11 juin 1781 (de Nîmes) : « Avant que je trouve une occasion sûre pour vous renvoyer vos deux médailles que l’on m’a remis ces jours derniers, j’ai jugé à propos de vous en donner avis, et de vous dire mon sentiment. J’ai donc examiné attentivement l’une et l’autre. Celle de Tibère m’a paru indubitablement fausse, je ne suis point content du vernis brun qu’on y a appliqué, qui recouvre également une partie usée de la tête, tout comme le champ. Si les sels du terrain où l’on doit penser que cette médaille a séjournée, ou telle autre cause eussent occasionné la teinte brune de cette médaille, on ne peut supposer qu’il en eut résulté une couche aussi unie. Cet indice fait soupçonner la fraude. Les lettres TI•CAES• sont d’ailleurs plus basses que les suivantes et paraissent visiblement avoir été suppléées et refaites. En un mot après l’avoir tournée et retournée de tous les côtés, je n’ai pu me persuader que ce soit une médaille légitime. Celle de Trajan du côté de la tête a quelque chose d’imposant, et au premier coup d’œil elle paraît vraie et bien légitime, mais en considérant le revers et le type de l’arc superbe qu’il représente on soupçonne aisément que ce revers a été ajouté d’après celui que l’on trouve gravé dans l’ouvrage intitulé : ''Reliqua Librorum Aeneæ Vici Parmensis Venetiis'', 1601, 4°, pl. 21, médaille LXXIIII avec laquelle j’ai confronté la vôtre où les colonnes de l’arc sont plus resserrées, que dans celle qu’on trouve à la p. 343 de la ''Dichiaratione di medallie antiche'' de Sébastien Erizzo, imprimée à Venise in-4° qui y a représenté cet arc d’une meilleure proportion. J’en ai une fausse qu’on avait doré où il est figuré tel que celui d’Erizzo. Il me semble encore d’entrevoir que l’on a abaissé le champ de votre médaille pour dessiner cet arc qu’on a si fort resserré. C’est donc l’ouvrage de quelque faussaire qui a voulu donner du prix à la médaille de Trajan, et en a rebattu et lissé le contour afin qu’on ne peut découvrir la fraude. Celle-ci est donc vraie du côté de la tête, et fausse du côté du type au revers dont on doit grandement se défier. J’aurais bien souhaité que cet examen m’eut conduit à penser mieux de vos deux médailles. Je vous dis franchement mon sentiment, mais en m’en rapportant néanmoins au vôtre qui prévaudra toujours sur le mien, je profiterai de la première occasion sûre pour vous renvoyer ces deux médailles. » (Avignon, Bibliothèque municipale, ms. 2364, f° 339).ibliothèque municipale, ms. 2364, f° 339).)
  • Joseph de Bimard - Jacques-Philippe d'Orville - 1735-12-15  + (lettre du 15 décembre 1735 (de Pa ris) : Ilettre du 15 décembre 1735 (de Pa ris) : Inscriptions and coins also are focuses of academic discussion. I myself am busy investigating libraries and learned discussions about polishing up the discourses for the appendix to Muratori’s Thesaurus of inscriptions, the argument of all five of which he sets out: thereafter I shall resume my dissertation on the Roman Army and Navy and then a life of Petrarch in French (it calls for a revised edition), and then a purged edition of Dio Cassius if I can obtain a codex of guaranteed quality, along with a translation and notes on some of the important places (textual), I am eagerly expecting your «Sicula» and am very glad that Theocritus is to come into the hands of scholars in a much more accurate shape thanks to your emendations. I am very eager to have a copy of Bouhier’s translation (or version?) of Petronius’«de Bello civili»; and as I have given special attention to the study of chronology I want to get hold of Dodwell’s treatises on his cycles of the Greeks and Romans. (Oxford, Bodleian Library, MS D’Orville 497 f° 252-253).ian Library, MS D’Orville 497 f° 252-253).)
  • Jean-François Séguier - Giovanni Bianchi - 1751-6-3  + (lettre du 3 juin 1751 (de Vérone): “Il siglettre du 3 juin 1751 (de Vérone): “Il signor Schlaeger antiquario del principe di Gota mi scrive che lavora intorno ad una raccolta delle iscrizioni che anticamente sono state fatte pro e contra gli Ebrei. A questo gentilissimo signore sono tenuto de [sic] molte finezze che usa meco, e vorrei procurargli due libretti del padre Paciaudi, che vanamente ho cercati in questi contorni, e che non posso rinvenire. Se mi vorreste far grazia di scriverne a detto padre per domandargli, vi sarei obligato, ed io pagherò tutta la spesa. Questi sono: Paul. Mar. Paciaudi ''Dissertazione sopra una statuetta di Mercurio Napoli'' 1747 4o ''Osservazioni sopra alcune medaglie antiche e strane''. Non so la forma né il luogo e anno della stampa. Offeretegli i miei rispetti, ed anche que’ del signor marchese Maffei, che vorrebbe fargli capitare una copia della sua nuova opera, ma non sa come. S’è qui stampato un lungo catalogo con tutte le figure in rame delle medaglie che conserva il signor Giacomo Muselli gentiluomo di questa città nel suo museo, dove sono una gran parte di quelle che aveva fu monsignor Bianchini, e molto accresciute dopo. Sono tre tometti in foglio. » (Rimini, Biblioteca Gambalunga, Fondo Gambetti, Lettere autografe al Dott. Giovanni Bianchi, pièce 51).rafe al Dott. Giovanni Bianchi, pièce 51).)
  • Jean-François Séguier - Giovanni Bianchi - 1751-12-30  + (lettre du 30 décembre 1751 (de Vérone) : «lettre du 30 décembre 1751 (de Vérone) : « In Zurigo il Gesner oltre a quelle stampe di medaglie a voi note, ora ne promette un’altra che conterrà non so quante mille medaglie, e questa si stampa per via di soscrizione. » (Rimini, Biblioteca Gambalunga, Fondo Gambetti, Lettere autografe al Dott. Giovanni Bianchi, pièce 57).rafe al Dott. Giovanni Bianchi, pièce 57).)
  • Monanno Monanni - Leopoldo de' Medici - 1658-8-31  + (lettre du 31 août 1658 (de Rome): "Per la lettre du 31 août 1658 (de Rome): "Per la Dio grazia si è arrivato a chiarire il furto fatto essere stato per mero furto da persona vile, come si credeva. Le diligenze fatte da me subbito con il signor Gottifredi et il signor Leonardo Agostini, hanno partorito il desiderato e sperato frutto.</br>L'Agostini che sempre gira e conosce questa sorte di gente antiquarie, sentì che un tale Branciforte aveva voluto dare un doblone di una medaglia grande di uno Probo con un rovescio di tre monete a uno di questi rivenditori di Piazza Novona, che tengano questi tavolini con medaglie, pietre e simili e perché questo che si chiama Innocenzo Ferroni è nemico capitale dell'Agostini, egli mi avvisò e disse che era amico e dependente assai del signor Gottifredi, al quale io subbito lo feci sapere e pregai a far diligenza di recuperare detta medaglia et altre se potrà e scoprirà il fatto. Io però impaziente stimolai et in somma il medesimo Innocenzio ch'era stato dal signor Gottifredi e che aveva chiarito il negozio, venne da me e mi disse che aveva consegnato le tre medaglie al signor Gottifredi e che avendo inteso che detto signore voleva parlare a me, perché era furto fatto a me, egli era venuto per dirmi il tutto come fece, comprò le medaglie da un giovane di primo pelo per 19 giuli, quale era lungo di statura, magro, malaticcio e male in ordine. Io allora lo condussi con me all'offizio del Governatore, parlai con il Notaro che ha la causa con il Bargello e con il Giudice, che se li cavò il mandato, che sottoscrisse il detto Giudice con il nome segnato NN perché non si sapeva et adesso si stà attendendo che questo ricapiti in Piazza Navona, dove gli è teso la rete. Il signor Gottifredi ha le medaglie in mano, eccetto le moderne di Vostra Altezza, che quell'Innocenzo mi dice averle date a un franzese, ma che spera di riaverle con il medesimo prezzo vendute di giuli 12 l'una ..</br>Di Vostra Altezza Serenissima umilissimo devotissimo e obbligatissimo servitore</br>Monanno Monanni</br>Di Roma lì 31 di agosto 1658" (Firenze, Archivio di Stato, MP 5538, c. 110; Barocchi - Gaeta Bertelà 2007, p. 557-558).arocchi - Gaeta Bertelà 2007, p. 557-558).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Natalizio Benedetti - 1613-10-29  + (sur des pierres gravées, une inscription asur des pierres gravées, une inscription arabe et des médailles modernes, puis : « La Medaglia di Galba (supra) con carro è molto singolare, et tanto più che si trova diversa in qualche parte da quella che descrive Casaubono nel Suetonio, et anco da quella che dice il Golzio nel Tesoro cap. XXII, di modo che se ella si degna mandarme un prompto, io lo farò capitare al sig.re Casaubone acciò che nella prima edittione si aggiongi (sic) alla precedente, et che vegga di dare raggione si delle figure e queste che sono nella sua, come di quella della Vittoria ch’incoronò l’Imperatore nella vostra » (Bib. Municipale d’Avignon, Ms 202 (1020), p. 113-114, minute ; voir V. Carpita 2006, doc. 6).</br>Note (Guy Meyer): Je n’ai pas trouvé la monnaie en question dans les éditions de Suétone par Casaubon antérieures à 1613, mais je n’ai pas pu consulter la réédition du Suétone de Casaubon, publiée à paris en 1610 (chez Douart et chez Cramoisy). En revanche, on trouve la monnaie dont parle Peiresc dans la réédition de 1647 (Strasbourg), p. 527 de l’animadversio. Casaubon dit qu’il tient cette pièce de Jacob Azam(us), avocat à Limoux. La légende de la monnaie est citée par Goltzius, à la page 174, du Thesaurus rei antiquariae (1579): «Quadrages. remiss». Cf. l’édition illustrée de Suétone par Charles Patin, seconde partie (Utrecht, 1703), p. 54 et le Thesaurus numismatum e musaeo C. Patini (1672), p. 146.ismatum e musaeo C. Patini (1672), p. 146.)
  • James Long - John Aubrey 1692-08-12  + (they were between sixteen hundred and two they were between sixteen hundred and two thousand of them. Of them I have two hundred… [and for the coins found at Bristol] There were many found lately not far from Bristol, of which I have (I think) about forty. … There is among mine one very fair Otho, but most of the Constantines; many of Julian Apostate with the goates beards & without the rest. Jovianus, Valentinians and Valens and Gratianus very fresh and unworn; several reverses. I suppose them hid about the Valentinian’s time, where they lay in a rock ever since. They are of the three usual sizes, the biggest two Attic drachmas: the second one drachma, the last half a drachma. (Fowles 1982, p. 1014; Burnett 2020b, p. 1200)(Fowles 1982, p. 1014; Burnett 2020b, p. 1200))
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Natalizio Benedetti - 1613-8-14  + (« ... di modo che non ho tempo di mettere « ... di modo che non ho tempo di mettere all’ordine ciò che desideravo mandarle, neanche di pensare all’interpretatione dimandata delle Anticaglie contenute nello scatolino. Io la ringratio solamente per cento milla volte di tante curiosità che le (sic) piaciuto mandarme, fra le quali sono rarissime, et di grandissimo mio gusto quella Bolla di piumbo antica, diversa di quella che mi donò M.re Lelio [Pasqualini], et ancora una monetina d’argento dove è il R.P. non mi dispiace d’altro che di non havere alle mani cosa degna di lei à mandar in scambio... Le Monete descritte nella carta sono Oboli vecchi di 3 o 4 cento anni in circa... » (Bibliothèque Municipale d’Avignon, Ms 202 (1020), p. 111-112, minute ; voir V. Carpita 2006, p. 145-146, doc. 5).</br>Note (Guy Meyer): les «oboles» sont mentionnées dans la lettre de Benedetti du 20 mai 1613: « c’è ancora una carta...» (citée supra), puis dans la lettre du 24 janvier 1614: « Me dice pur V. S. nell’altra sua, che ha l’Oboli di tutte le contrade d’Italia, e di Francia... « (p. 148); et aussi la lettre du 12 mars 1614; et encore dans la réponse de Peiresc du 25 mai 1614.dans la réponse de Peiresc du 25 mai 1614.)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-08-28  + (« Au reste les remerciements que vous me f« Au reste les remerciements que vous me faites de la médaille d’or m’obligent infiniment, mais si ne les devez vous pas tous à moi seul, car ce n’est que par votre moyen ou des vôtres que je l’avais recouvrée, auxquels vous en devez savoir partie du bon gré et la meilleure » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 39; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XXI, p. 33). Larroque 1893 vol. 4, lettre XXI, p. 33).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1630-09-13  + (« Au reste vous avez peur que j’ai perdu l« Au reste vous avez peur que j’ai perdu la mémoire de vos médailles de cuivre que Mademoiselle de Blacas m’est venue demander aujourd’hui, à qui je les eusse incontinent fait bailler si j’eusse été bien assuré de les trouver dans mon étude. Mais la confusion qui y est encore et la presse que j’avais pour autre chose m’en a fait dispenser pour à cette heure. Tant y a que vous pouvez bien vous assurer qu’elles en sont pas perdues, et que au pis aller j’en serai le porteur moi-même, Dieu aidant, ne croyant pas que vous y veuillez étudier maintenant que vous avez tant d’autres meilleures occupations » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 1; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre I, p. 1-2).e Larroque 1893 vol. 4, lettre I, p. 1-2).)
  • Giuseppe Bencivenni Pelli - 1777-10-30  + (« Dizionario numismatico. Fra le cose che « Dizionario numismatico. Fra le cose che anderebbero fatte per facilitare lo studio delle medaglie, ho detto già che ci bisognerebbe un Dizionario geografico numismatico fatto con studio e dili genza. È cosa miserabile il catalogo delle città libere che diede il padre Fròelich nella sua Notizia Elementare e che ricopiò il padre Zaccaria nelle sue Istituzioni Numismatiche. Prima di questi l'Arduino per illustrare la Geografica un'opera compose che ha il suo merito ma che non risparmia quella che propongo, tanto più che le opinioni di questo religioso sono cosi spesso tanto diverse da quelle degli altri antiquari. Il fondamento del libro andrebbe preso dai classici consultando i commentatori, il Cellario e d'Anville specialmente. Doppo stabilito il sito di ogni città, converrebbe saperne la storia in poche parole perché il metodo dell'abate Belley, adoperato nelle sue memorie che sono negli atti dell'Accademia delle Iscrizioni, in un dizionario sarebbe troppo lungo. In questa storia verrebbero segnati i principi dell'epoche che usate dalle rispettive città i diversi nomi che hanno preso i magistrati che si trovano nelle loro medaglie e quant'altro servisse a intendere le medesime, doppo ciò bisognerebbe indicare appresso in quale autore si possono vedere le sue medaglie. Io sono ritornato sopra questo progetto perché ne veddo ogni giorno più la necessità, e mi dispiace di non essere inadatto di occuparmi sopra il medesimo per quanto mi ci sia anche provato per mio capriccio. Mi duole di non essere alcuno di coloro i quali hanno l'abilità di seppellirsi tra i libri e di stender quanto vogliono con quella costanza che bisogna e con quella facilità che può procurare un gran possesso di erudizione ed un ammasso di capitali che si sono fatti. Fra questi ammiro il Noris, il quale lavorava molto presto e bene ed avrei voluto solamente che non avesse delle volte scelti certi argomenti oscuri, inutili e pieni di non senso, benché teologici » (52 BNCF, N.A. 1050, Efemeridi, s. II, V, 1777, c. 857, 30 ottobre 1777). s. II, V, 1777, c. 857, 30 ottobre 1777).)
  • Giuseppe Bencivenni Pelli - 1777-2-17  + (« Doppo che sono alla R. Galleria, non è v« Doppo che sono alla R. Galleria, non è venuto nessun signor fiorentino a vedere le gemme, e molto meno le medaglie. Che cosa vuol dire? Ignoranza, ma ignoranza cieca, che non si conosce e non si scuote. Con che la maggior parte dei forestieri che vedo, vai poco, ma almeno hanno un poco di gusto e sanno certe cose generali che ignorano i nostri nobili. Eppure uno dei primi fonti di cultura doverebbe essere questo luogo, ove tutto quello che s'impara adorna lo spirito, e promuove il genio e la stima delle belle arti, senza le quali tutto è miseria e bassezza. Nell'educazio giovani, doverebbe entrare un'ostensione delle statue, delle pitture e delle altre rarità che sono depositate alla R. Galleria e l'occhio si avvezzerebbe a trovare il bello ed ricchi s'invoglierebbero di un lusso nobile che varrebbe più della magnificenza nelle livree, nei cavalli e in tante altre frivolezze, e che sono esterni ornamenti di parata abbagliare il volgo, ma che non portano a presunzione di cultura in coloro che se » (BNCF, N.A. 1050, Efemeridi, s. II, V, 1777, c. 754, 17 febbraio 1777) s. II, V, 1777, c. 754, 17 febbraio 1777))
  • Giuseppe Bencivenni Pelli - 1782-11-29  + (« Ho terminato stamane di numerare tutte l« Ho terminato stamane di numerare tutte le antiche medaglie del R. Gabinetto per confrontarle col catalogo. Ora vorrei fare un indice sistematico, il quale servisse a trovare a colpo d'occhio quello che vi è, ed a sapere quello che serba. Io ci vado pensando, e rivolgo in mente vari disegni, ma ci vorrebbe chi mi aiutasse nell'ese guirli. Gli indici che osservo nei libri non mi contentano. Tempo addietro ne archi tettai uno molto vasto ed istruttivo, il quale non solo portava notati gli imperatori con le loro donne, le famiglie, i regi, gli uomini illustri, le città, tanto libere che soggette, ma le deità ancora, i magistrati, i riti, i giuochi, le cose militari, gli edifìzi, gli animali, le piante, i simboli ecc. Io non so ancora se averò adesso sofferenza di eseguirlo. Se niente altro mi restasse a fare, certamente mi baloccherei in esso, ma ho il catalogo dei disegni da finire, ho quello delle gemme da rivedere, aggiungendovi tutti gli altri pezzi che sono nel Gabinetto delle medaglie, ho le monete e le medaglie moderne da assestare, ho d'assistere a tempo nuovo all'inventario generale, ed ho da compiere di mettere in ordine il catalogo dei quadri per la stampa » (BNCF, Ν .A. 1050, Efemeridi, s. II, X, 1782, c. 1904, 29 novembre 1782).. II, X, 1782, c. 1904, 29 novembre 1782).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Jean-Jacques Bouchard - 1634-09-10  + (« Il est vrai qu’il (Ménestrier) me mandai« Il est vrai qu’il (Ménestrier) me mandait qu’il m’avait envoyé une caisse de médailles et anticailles, pour l’envoyer par Civita Vecchia, laquelle n’est pas encore arrivée, ni possible(ment) partie de là, et si votre paquet était accomapgné d’aucun livret, il pourrait bien l’avoir mis dans ladite caisse au lieu de me l’envoyer par la poste » (Montpellier, Bibliothèque de l’Ecole de Médecine, vol. H 271, fol. 244; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XIX, p. 115).Larroque 1893 vol. 4, lettre XIX, p. 115).)
  • Giuseppe Bencivenni Pelli - 1785-1-25  + (« Io proseguo a prendere un appunto delle « Io proseguo a prendere un appunto delle medaglie duplicate del R. Gabinetto trovo nel tempo stesso dei veri pezzi non simili che sempre più m'imbrogliano l'artifizio degli antichi nel coniare le loro monete. Questa fatica sterile e disgustosa, mi occuperà tutto l'inverno e poi a primavera dovrò fare lo stesso nel Gabinetto medaglie e delle monete moderne, con che averò finito bene ο male i miei disporre un copioso Gabinetto, è un imbarazzo più grande e più lungo che crede, e nel mio, che ho dovuto variare, ridisporre, mutare più volte, questo razzo è riuscito quasi maggiore. Ma oggi mai faccio tutto con un certo comodo, scelta e per necessità, onde lo faccio adagio, avendo verificato che il far presto portò vantaggio veruno, e che non sono stato né riconosciuto, né ricompensato mia diligenza passata » (BNCF, N.A. 1050, Efemeridi, s. II, XIII, 1785, c. 2348v, 25 gennaio 1785).I, XIII, 1785, c. 2348v, 25 gennaio 1785).)
  • Giuseppe Bencivenni Pelli - 1777-2-19  + (« Io trovo gran difficoltà a raccogliere d« Io trovo gran difficoltà a raccogliere dei libri d'antiquaria e specialmente di medaglie. Non ne trovo appresso i nostri librai, ed alcuni neppure ho potuti avere di essendo usciti di commercio. Due librerie si sono vendute a mio tempo che ne vano, cioè quella del barone Stosch, la quale era ricchissima, e quella del proposto Gori. La prima si sperse, la seconda passò nell'università di Pisa per cui fu comprata. Quando S.A.R. mandò i libri della Palatina nella Magliabechiana con far prima scelta di quelli che convenivano al Gabinetto di Fisica, Raimondo Cocchi averebbe potuti prendere quelli ch'erano propri per la Galleria. Ma in quel tempo era scordia col direttore Querci, e del tempo dopo soltanto mostrò di riconoscere necessità di un assortimento di libri anche per la Galleria. Sebastiano Bianchi aveva in proprio molto buono per i suoi tempi, ma il figliolo lo vendè malamente. Quando i libri sono di poco costo, io gli prendo per me, ma per quelli di un prezzo un poco forte, non ho possibilità di comprargli, e bisogna che mi maneggi » (BNCF, N.A. 1050, Efemeridi, s. II, V, 1777, c. 755, 19 febbraio 1777).s. II, V, 1777, c. 755, 19 febbraio 1777).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1632-03-23  + (« Je me suis trouvé si pressé ces jours-ci« Je me suis trouvé si pressé ces jours-ci que je n’ai pu vous répondre à mon grand regret, ni vous remercier comme je fais bien humblement et affectueusement de vos deux belles médailles tant de Marc Aurèle que du Prince d’Orange auxquelles j’ai bien pris du plaisir. Il faudra trouver des moyens de revanche en attendant vos commandements » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 52; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XXIX, p. 44).Larroque 1893 vol. 4, lettre XXIX, p. 44).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1632-06-26  + (« Je ne verrai point Mr Peyssonel que ne l« Je ne verrai point Mr Peyssonel que ne lui fasse les reproches de son indue jactance de libéralité puisqu’elle était si vénale. Il me dit en même temps qu’il avait donné à Mr de Bandolle et au fils de Mr le conseiller Ollivier (Olivari) le choix de toutes ses médailles, ce qui me fait croire que c’aura été comme à vous en bien payant » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 62; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XXXIV, p. 51-54).oque 1893 vol. 4, lettre XXXIV, p. 51-54).)
  • Carlo Garelli - Jean-Paul Bignon - 1729  + (« Journal des Sçavans 89, sept. 1729, p. 132-135 – A propos du scandale de l’achat de la collection des Chartreux de Rome, pleine de faux, par l’empereur (Spier & Kagan 2000, p. 85, note 95).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-5-27  + (« J’ai acheté ici des sandales de deux mom« J’ai acheté ici des sandales de deux momies fort bigarrées avec les clous dorés et quelques médailles et gravures antiques, du sieur Pelissier, qui ne voulut pas vendre les cailloux d’améthiste et voudrait bien l’avoir fait. Il est vraiment fort honnête homme et fort traitable depuis son retour de ce de dernier voyage du Levant.« (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 26; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XIV, p. 22). Larroque 1893 vol. 4, lettre XIV, p. 22).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1632-03-07  + (« J’ai reçu deux de vos lettres avec les d« J’ai reçu deux de vos lettres avec les deux vieilles plaques desquelles je fais cas et en ferais davantage si l’autre armoirie qui y avait été ci-devant ne s’étant perdue, mais je vous suis cependant bien redevable et après avoir fait portraire l’armoirie qui y est restée je vous la renverrai avec la grosse médaille barbare, dont je pense en avoir eu de semblables de vous-même autrefois » (Paris, BnF, Man. Fr. 15205; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, appendice, p.613).e Larroque 1893 vol. 4, appendice, p.613).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-11-10  + (« J’ai reçu les petites médailles dont vou« J’ai reçu les petites médailles dont vous l’aviez chargé (Mr Fabri) et dont je vous remercie très humblement, principalement de la petite monnaie d’argent, qui m’avait donné dans la visière quand je la tenais par le revers, mais lorsque je la tournai du côté de la tête, je n’y trouvai que le volto santo de Lucques, mais il est vrai que c’est la plus ancienne que j’ai vue de cette sorte là, et que je garderai volontiers pour l’amour de vous en attendant d’aller voir votre vieux consul nouvellement remis au jour et tiré des ténèbres ». (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 43; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XXIII, p. 35).arroque 1893 vol. 4, lettre XXIII, p. 35).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-7-12  + (« J’ai reçu vos trois médailles d’or et n’« J’ai reçu vos trois médailles d’or et n’ai pas pu lire ce que je pensais au dernier mot du revers qui a deux figures. C’est pourquoi je vous la renvoie avec l’une de ses compagnes, en ayant retenu une autre selon la liberté que vous m’en avez donnée, laquelle j’ai remplacée d’une que je viens de recevoir de Bordeaux, bien marri qu’elle ne soit plus digne de tenir la place de l’autre. Mais ce ne sera qu’en attendant qu’il m’en tombe en mains quelque meilleure que je vous renvoierai tant plus volontiers. Cependant vous garderez celle-là s’il vous plaît et je vous demeurerai très obligé de vos continuelles faveurs et de l’offre de votre vase de pierre qu’il n’est point besoin de m’envoyer, étant marri d’avoir si longtemps gardé vos autres vases et cuillères que j’espère vous renvoyer au premier jour, Dieu aidant, étant toujours, Monsieur, votre très humble et très obligé serviteur. De Peiresc » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 31; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XVIII, p. 28).arroque 1893 vol. 4, lettre XVIII, p. 28).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-1-21  + (« J’ai reçu votre paquet du 18ème avec cel« J’ai reçu votre paquet du 18ème avec celui de Rome joint aux médailles, dont je vous prie de faire mes remerciements à Mr Mimault qui me l’a apporté, et dont je me tiens son obligé, et me revancherai en son endroit et au vôtre quand je le pourrai. Vous m’avez bien fait venir la salive en bouche quand vous m’avez mandé l’exactesse dont usai Mr Jusberty non seulement aux petites instructions dont je l’avais prié, mais aussi au recueil des monnaies ou de leur cours et valeur durant tant d’années. Ce qui mérite bien de n’être pas perdu ou supprimé non plus que l’honneur et l’avantage de celui qui s’est attaché à ce labeur, et pour le rendre plus accompli, il faut joindre ce que j’ai recueilli des ordonnances qui en ont été faites, non seulement en cette province, mais aussi en celles de nos voisins dont nous imitions les espèces, ou dont ils imitaient les nôtres. Et puis comparer le tout avec les pièces mêmes dont vous savez que j’ai un grand nombre et une grande diversité qui pourra donner grande lumière aux observations de Mr Jusberty, comme les siennes pourront faire à ce que j’en ai assemblé. C’est pourquoi il lui faut donner courage de ne pas demeurer en si beau chemin, et cependant je lui écris un mot à l’avance que vous lui pourrez rendre et l’assurer que je suis bien acquis à lui et aux siens, et qu’il m’emploie librement si je puis le servir » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 12; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre VII, p. 12-13).rroque 1893 vol. 4, lettre VII, p. 12-13).)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Boniface Borrilly - 1631-06-19  + (« J’ai reçu à Beaugentier les deux petites« J’ai reçu à Beaugentier les deux petites médailles d’or que vous aviez baillées à mon frère avec cette pierre noire enchâssée dont l’une des médailles est bien gentille et de celles de mon goût, et partant d’un notable augment à mes obligations en votre endroit, dont je vous rends mille très humbles remerciements, ayant pris plaisir de voir la lettre de Mr le Protonotaire votre fils… » (Paris, BnF, Manuscrits, Fr. 15205, f° 31; Tamizey de Larroque 1893 vol. 4, lettre XIV, p. 27). Larroque 1893 vol. 4, lettre XIV, p. 27).)