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  • Pierre Bayle - Jacques Du Rondel - 1692-5-5  + ([23] Ezéchiel Spanheim, Disputationes de usu et præstantia numismatum antiquorum (Rome 1664, 4°, 2 vol. ; 2 e éd. Amsterdam 1671, 4°, 2 vol. ; 3 e éd. Londres 1706-1717, folio, 2 vol.).)
  • Jean Le Clerc - Pierre Bayle - 1684-6-3  + ([26] A la fin de l’article consacré aux Le[26] A la fin de l’article consacré aux Lettres choisies de feu Monsieur Gui Patin, Docteur en Médecine de la Faculté de Paris, et Professeur au College Royal (La Haye, Genève 1683, 12°) ( NRL, avril 1684, art. I), Bayle mentionne la permission qu’a reçue le fils de cet auteur, l’antiquaire et médailliste Charles Patin, de retourner à Paris après sa disgrâce.n, de retourner à Paris après sa disgrâce.)
  • Pierre Bayle - Claude Nicaise - 1690-7-6  + ([3] Nicolas Thoynard (ou Toinard) (1629-17[3] Nicolas Thoynard (ou Toinard) (1629-1706) fut un des grands savants antiquaires du XVII e siècle, fréquemment consulté par les érudits, quoiqu’il eût lui-même publié peu d’ouvrages. On connaît de lui deux dissertations latines sur des médailles anciennes et de courtes notes sur Lactance, In Lactantium de mortibus perscutorum notæ (Paris 1690, 12°), dédiées à son ami Guillaume Prousteau, professeur en droit à Orléans. Thoynard fut par ailleurs proche de Port-Royal et joua un rôle dans les controverses autour du Nouveau Testament de Mons : voir Dictionnaire de Port-Royal, s.v. Il s’agit ici de sa dissertation Trajani et Caracallæ Alexandrina duo numismata, cum interpretatione (Parisiis 1689, 4°), dont un compte rendu parut dans le JS du 2 janvier 1690. rendu parut dans le JS du 2 janvier 1690.)
  • Jean-Baptiste Du Bos - Pierre Bayle - 1696-8-10  + ([41] Jean-Foy Vaillant, Numismata imperato[41] Jean-Foy Vaillant, Numismata imperatorum, Augustarum et Cæsarum : a populis Romanæ ditionis, Græce loquentibus ex omni modulo percussaquibus urbium nomina, dignitates, Prærogativæ, [...] consignantur (Lutetiæ Parisiorum 1698, folio ; Amstelædami 1700, folio).</br>[42] Il s’agit d’une thèse présidée par Christophorus Cellarius le 7 janvier 1696 à l’université de Halle : Flaviana Herodum historia [...] nummis antiquis conciliata, quam [...] pro honoribus [...] magistri philosophiæ [...] consequendis, præside Christophoro Cellario [,..]. a.d. 7 januar. 1696 [...] ad disputandum proponit Joannes Justus Adelung (Halæ Magdeburgicæ [1696], 4°). Cet ouvrage fait l’objet d’une annonce dans un « Extrait d’une lettre de Rotterdam » dans le JS du 30 avril 1696 : « La dissertation du P[ère] Hardouin De nummis Herodiadum, a esté imprimée en Al[l]emagne, avec une refutation, sous ce titre Flaviana Herodum Historia adserta et nummis antiquis conciliata. L’auteur est professeur en histoire et en éloquence dans la nouvel[l]e université de Hall[e], et se nomme Sellarius. »</br>[43] Dubos écarte donc l’ouvrage sceptique de Jean Hardouin comme un recueil de spéculations superstitieuses.</br>[i] tamquam herba solstitialis : « comme l’herbe du solstice [d’été] », une plante qui s’épanouit l’été mais qui se fane très rapidement. Voir Plaute, Pseudolus, 38, « quasi solstitialis herba paulisper fui : repente exortus sum, repentino occidi ».</br>[44] Il confond l’ Hérode mentionné à plusieurs reprises dans les lettres de Cicéron à Atticus avec Hérode le Grand, roi de Judée.</br>Remarques de Guy Meyer: Sur Bergier, voir la lettre précédente. La première édition des Médailles impériales grecques ou Villes grecques de Vaillant (titre exact, Numismata Imperatorum, Augustarum et Cæsarum, à populis romanæ dictionis græcè loquentibus ex omni modulo percussa...), à Paris, chez André Cramoisy, suivie en 1699 d'un second tirage avec des planches, chez Jombert. L'édition augmentée et définitive, qualifiée de seconde édition, fut confié au soin des frères Huguétan, anciens libraires Lyonnais protestants réfugiés en Hollande, imprimé par Gallet, à Amsterdam, pour leur compte (« Hugetanorum », page de titre). En 1693, le père Hardouin avait publié les Chronologiæ ex nummis antiquis restitutæ, à Paris, chez Anisson. L'édition originale de la dissertation polémique de Christophorus Cellarius (Christoph Martin Keller, 1638-1709) s'intitule, Flaviana Herodum adserta et nummis antiquis conciliata, Halle am der Saale (et non pas Leipzig), 1696. Elle a été rééditée plusieurs fois notamment en 1700, à Halle am der Saale, augmentée et révisée, sous le titre Flavii Iosephi de Herodibus Historia, a suspicione in quam V(ir) Cl(arissimus) Ioannes Harduinus S. I. nuper vocavit, iustis vindiciis adserta, et nummis antiquis conciliata, puis en 1712 dans les Dissertationes Academicæ, de Cellarius, à Leipzig, pp. 207-231, sous le titre « Dissertatio XI, qua Flavii Iosephi de Herodibus Historia, a suspicione contra Ioannem Harduinum iustis vindiciis adseritur, & nummis antiquis conciliatur, habita A. 1696 », et in Havercamp, Flavii Josephi, Opera omnia, Amsterdam, 1726, II, pp. 324-329. Le Journal des Savants, 1697, pp. 312-313, qui rend compte de du livre de Cellarius introduit une certaine confusion en prétendant que l'auteur s'appellerait Sellarius et que sa réplique était accompagnée d'une édition allemande de l'ouvrage incriminé du père Hardouin. Contrairement à ce qui est affirmé dans la note 42 à la lettre 1148 de la Correspondance de Pierre Bayle, Cellarius n'a pas présidé une thèse, mais il est l'auteur d'une dispute sur un sujet proposé Johannes Justus soutenue devant l'Académie Frédéricienne.stus soutenue devant l'Académie Frédéricienne.)
  • Pierre Bayle - Vincent Minutoli - 1692-8-28  + ([43] Ezéchiel Spanheim, professeur de phil[43] Ezéchiel Spanheim, professeur de philosophie à Genève en 1650, puis résident à Paris de Frédéric-Guillaume I de Hohenzollern, électeur de Brandebourg. : voir Lettres 13, n.15, et 359, n.13.</br></br>[44] L’imprimerie d’ Ulricus Liebpertus fut active entre 1691 et 1704 : elle publia des ouvrages archéologiques et numismatiques de Lorenz Beger, Pietro Santi Bartoli, Jacques de Bie et Johann Justus Appelius.</br></br>[45] Lorenz Beger (1653-1705), Observationes et conjecturæ in numismata quædam antiqua. [...] Accedunt duæ Ez. Spanhemii ad authorem epistolæ iisque interjecta authoris ad priorem responsoria (Coloniæ Brandenburgicæ 1691, 8°), imprimées par Ulricus Liebpertus.91, 8°), imprimées par Ulricus Liebpertus.)
  • Daniel de Larroque - Pierre Bayle - 1691-3-5  + ([5] Le Père Jean Hardouin s’en était pris [5] Le Père Jean Hardouin s’en était pris aux spécialistes de la numismatique dans sa volonté de contester l’authenticité des témoignages historiques. Sur Jean-Foy Vaillant, voir Lettres 252, n.3 et 160, n.140. Bayle avait suivi la querelle entre Hardouin et Vaillant dans les NRL, mars 1685, cat. iv, faisant état des plaintes d’ André Morell et de Jean-Foy Vaillant contre les plagiats du Père Hardouin, et, en juin, cat. iii, il avait fait état de la réponse du Père jésuite à ses accusateurs : voir Lettres 357, n.8, 395, n.16, 439, n.17, et 446, n.9. C’est en 1688 que Jean-Foy Vaillant avait publié ses Numismata ærea Imperatorum, Augustarum, et Caesarum : in Colomis, municipis et urbibus jure latio donatis, ex omni modulo percussa (Parisiis 1688, folio), qui firent l’objet d’un compte rendu dans le JS du 16 août 1688. En 1689, avait suivi l’ouvrage de Jean Hardouin, Antirrheticus de nummis antiquis coloniarum et municipiorum ad Joan. Foy-Vaillant (Parisiis 1689, 4°), avec un compte rendu dans le JS du 25 avril 1689. Basnage de Beauval suivit également la querelle entre Hardouin et Vaillant : voir l’ HOS, mars, juin 1689, février 1690, août 1692. Sur l’ensemble de ces batailles numismatiques, voir T. Sarmant, La République des médailles. Numismates et collections numismatiques à Paris du Grand Siècle au Siècle des Lumières (Paris 2003).iècle au Siècle des Lumières (Paris 2003).)
  • Fançois-Michel Janiçon - Pierre Bayle - 1684-11-27  + ([7] Sur François Charpentier, académicien [7] Sur François Charpentier, académicien pensionnaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, adversaire deBoileau à l’Académie française et défenseur de la langue française pour les inscriptions des monuments publics, voir Lettre 90, n.7, 121, n.11, et 132, n.23.</br>[8] Sur l’ abbé Paul Tallemant (1652-1712), intendant des devises et inscriptions, secrétaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, membre de l’Académie française depuis 1666, voir Lettres 103, n.37, et 105, n.24.</br>[9] Sur Pierre Rainssant, médecin et numismate, voir Lettres 160, n.140 et 141.</br>[10] Henri de Bessé, sieur de Milon-la-Chapelle, connu sous le nom de La Chapelle-Bessé (vers 1625-1694), contrôleur des bâtiments du Roi, secrétaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, fréquentait le milieu de M me de Sablé et les lundis du président Guillaume de Lamoignon ; il est surtout connu comme l’auteur de la préface de la première édition desRéflexions ou sentences et maximes morales (Paris 1665, 12°) de La Rochefoucauld. Voir le Dictionnaire de Port-Royal,s.v.</br>[11] Sur Jean Vaillant, dit Jean-Foy Vaillant, voyageur érudit, antiquaire du roi et du duc du Maine, voir Lettre 347, n.15.</br>[12] André Morell (1646-1703) montra ses premiers dessins à Charles Patin, alors en exil à Bâle. Il se rendit ensuite à Paris et fut reçu dans le milieu du duc d’Aumont, jouissant d’un accès libre au Cabinet des médailles du roi. Il publia un Specimen universæ rei nummariæ antiquæ (Paris 1683, 8°), qui attira sur lui l’attention de Pierre Rainssant : c’est ainsi que Morell devint dessinateur du Cabinet des médailles. Pour différentes raisons, parmi lesquelles son adhésion à la foi réformée, Morell fut embastillé sur ordre de Louvois en 1688-1689 et de nouveau en 1690-1691, mais, pourvu parOudinet des ouvrages nécessaires, il poursuivit son travail en prison. Libéré en 1691, il se retira à Berne, puis dans l’Empire ; en 1694, le prince de Schwarzburg l’appela à Arnstadt en Thuringe, où le numismate fut chargé du cabinet princier. Cette même année, il rencontra à Halle Leibniz et Ezéchiel Spanheim ; ce dernier le présenta à l’ Electeur de Brandebourg, Frédéric-Guillaume, qui l’invita à Berlin, où le ministre Eberhard Danckelman encouragea son projet de corpus des médailles antiques. Mais Danckelman fut disgracié et les choses s’arrêtèrent là. Morell mourut en 1703 sans avoir réalisé son grand projet, dont seuls des morceaux furent publiés par la suite : Thesaurus Morellianus (Amstelodami 1734, folio) pour les monnaies consulaires, et Thesauri Morelliani tomitres (Amstelodami 1753, folio) pour les monnaies des douze premiers Césars. Voir T. Sarmant, La République des médailles, p.77-79.ant, La République des médailles, p.77-79.)
  • François-Michel Janiçon - Pierre Bayle - 1684-11-27  + ([7] Sur François Charpentier, académicien [7] Sur François Charpentier, académicien pensionnaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, adversaire de Boileau à l’Académie française et défenseur de la langue française pour les inscriptions des monuments publics, voir Lettre 90, n.7, 121, n.11, et 132, n.23.</br>[8] Sur l’ abbé Paul Tallemant (1652-1712), intendant des devises et inscriptions, secrétaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, membre de l’Académie française depuis 1666, voir Lettres 103, n.37, et 105, n.24.</br>[9] Sur Pierre Rainssant, médecin et numismate, voir Lettres 160, n.140 et 141.</br>[10] Henri de Bessé, sieur de Milon-la-Chapelle, connu sous le nom de La Chapelle-Bessé (vers 1625-1694), contrôleur des bâtiments du Roi, secrétaire de l’Académie des Inscriptions et Médailles, fréquentait le milieu de M me de Sablé et les lundis du président Guillaume de Lamoignon ; il est surtout connu comme l’auteur de la préface de la première édition desRéflexions ou sentences et maximes morales (Paris 1665, 12°) de La Rochefoucauld. Voir le Dictionnaire de Port-Royal,s.v.</br>[11] Sur Jean Vaillant, dit Jean-Foy Vaillant, voyageur érudit, antiquaire du roi et du duc du Maine, voir Lettre 347, n.15.</br>[12] André Morell (1646-1703) montra ses premiers dessins à Charles Patin, alors en exil à Bâle. Il se rendit ensuite à Paris et fut reçu dans le milieu du duc d’Aumont, jouissant d’un accès libre au Cabinet des médailles du roi. Il publia unSpecimen universæ rei nummariæ antiquæ (Paris 1683, 8°), qui attira sur lui l’attention de Pierre Rainssant : c’est ainsi que Morell devint dessinateur du Cabinet des médailles. Pour différentes raisons, parmi lesquelles son adhésion à la foi réformée, Morell fut embastillé sur ordre de Louvois en 1688-1689 et de nouveau en 1690-1691, mais, pourvu parOudinet des ouvrages nécessaires, il poursuivit son travail en prison. Libéré en 1691, il se retira à Berne, puis dans l’Empire ; en 1694, le prince de Schwarzburg l’appela à Arnstadt en Thuringe, où le numismate fut chargé du cabinet princier. Cette même année, il rencontra à Halle Leibniz et Ezéchiel Spanheim ; ce dernier le présenta à l’ Electeur de Brandebourg, Frédéric-Guillaume, qui l’invita à Berlin, où le ministre Eberhard Danckelman encouragea son projet de corpus des médailles antiques. Mais Danckelman fut disgracié et les choses s’arrêtèrent là. Morell mourut en 1703 sans avoir réalisé son grand projet, dont seuls des morceaux furent publiés par la suite : ThesaurusMorellianus (Amstelodami 1734, folio) pour les monnaies consulaires, et Thesauri Morelliani tomitres (Amstelodami 1753, folio) pour les monnaies des douze premiers Césars. Voir T. Sarmant, La République des médailles, p.77-79.ant, La République des médailles, p.77-79.)
  • Pierre Bayle - Vincent Minutoli - 1674-4  + ([8] Guillaume Du Choul (mort après 1555), [8] Guillaume Du Choul (mort après 1555), Discours de la religion des anciens Romains (Lyon 1556, folio). L’année précédente avaient paru de cet auteur des Discours sur la castrametation et discipline militaire des Romains. Des bains et antiques exercitations <chgrecques et romaines (Lyon 1555, folio). Une deuxième édition de ces deux ouvrages fut publiée l’année suivante (Lyon 1567, 4 o). Ce livre connut des rééditions ainsi que des traductions en italien, espagnol et latin.</br></br>[9] Antonio Agustin, dit Augustinus (1517-1586) canoniste et juriste espagnol qui prit part au concile de Trente et devint archevêque de Tarragone en 1574 ; il est l’auteur d’un ouvrage De familiis romanorum qui fut repris dans une publication ultérieure sur le même sujet : Fulvio Orsini, Familiæ romanæ quæ reperiuntur in antiquis numismatibus […] adjunctis familiis XXX ex libro Antonii Augustini (Romæ 1577, folio). L’ouvrage connut une nouvelle édition avec des additions par Charles Patin (Paris 1663, folio).itions par Charles Patin (Paris 1663, folio).)
  • Claude Nicaise - Pierre Bayle - 1694-6-26  + ([9] Jean-Baptiste Dubos, Histoire des quat[9] Jean-Baptiste Dubos, Histoire des quatre Gordiens, prouvée et illustrée par les médailles (Paris 1695, 12°), ouvrage recensé dans le JS du 23 janvier 1696, et dans l’ HOS de Basnage de Beauval, juillet 1696, art. V. Voir aussi A. Lombard, L’Abbé Du Bos : un initiateur de la pensée moderne (1670-1742) (Paris 1913 ; Genève 1969), p.21-40.</br></br>[10] Antoine Galland répondit, en effet, par une Lettre touchant l’« Histoire des quatre Gordiens » (Paris 1696, 12°), recensée dans le JS du 5 mars 1696. Gijsbert Kuiper (Cuper) n’allait pas tarder à entrer dans cette querelle : voir M. Abdel-Halim, Antoine Galland, sa vie, son œuvre (Paris 1964), p.360-369, et Correspondance d’Antoine Galland, éd. M. Abdel-Halim (Paris 1964), lettre 100, p.253-254 et lettre 119, p.286.ettre 100, p.253-254 et lettre 119, p.286.)
  • Andreas Morell - Andrew Fountaine - 1702-9-20  + ([I had decided to send back the coins to t[I had decided to send back the coins to the Prince de Ligne, but I will wait until we have been able to look at them together. … I am most grateful for the pains you took with the gold coin of Agrippa with M Ficoroni, but I find it strange that this man does not keep his word and always wants to have more. The coin is also in the collection of Signor Torta in Padua, and I hope to tell you all about this when I see you…. To encourage you even more to come here, I must tell you that since your last visit, we have received 156 beautiful imperial gold coins from the collection of the late Marquis de Seignelay, and you must see them.] (Trans. Spier and Kagan). must see them.] (Trans. Spier and Kagan).)
  • Gisbert Cuper - Gottfried Wilhelm Leibniz - 1703-1-23  + ([I understood the Knight Fountaine had a g[I understood the Knight Fountaine had a great passion for ancient coins and was marvellously skilled in interpreting them, even though he shall just now have reached only his twenty-fourth year, not only from the letters of the Prince de Ligne, from your letters, those of Morel, and of others, which were given to me by Rapin the teacher and tutor to the young son of the Earl of Portland.43 He told me that the Knight had bought for himself in Italy that Pecennius Niger in silver, and a Messalina, for which I congratulate him, and I ask you again and again, that, when it is convenient, you will greet him with the with the most repectful and affectionate words from me.]repectful and affectionate words from me.])
  • Sophie Charlotte von Hannover - Hans Caspar von Bothmer - 1702-5-11  + ([Mylord Woodstock is here as a triumphant [Mylord Woodstock is here as a triumphant man in good fortune. All his appearances are for the good opinion he has of his beauty. The Chevalier Fontaine who is with him does not make as much case of his own. He is mocked as preferring better to see an old medal than a pretty woman. This is due to the fact that he is thinking more freely and he is witty.] (Trans. F. de Callataӱ.)and he is witty.] (Trans. F. de Callataӱ.))
  • Ottavio Falconieri - Leopoldo de Medici - 1669-1-29  + ([Rien sur le Médaillon de Maximus dans Fileti Mazza. Pour le médaillon de Geta, pp. 257-258, avec la lettre de Falconieri datée de 1670 ?])
  • Gisbert Cuper - Gottfried Wilhelm Leibniz - 1703-6-9  + ([The Knight Fountaine was here with me, a[The Knight Fountaine was here with me, and you, distinguished Sir, were a great part of our conversation, and he greatly praised your kindness and learning, as well as that of the most excellent Beger. I observed the young Englishman has a mind of exceptional gifts, and that he is very skilled and well-equipped in ancient coins. He saw and examined my little collection, and stated that it contained some coins of great rarity. We examined a further fifty, which had just been sent to me from Venice, and we saw that notable ones, such as of Otho and Pescennius Niger, and others, were of bad stamp, and that the Italians wanted to impose on me. As soon as I received and examined them, my doubts were immediately raised, but the Englishman taught me the skill, and showed me how cleverly those deceitful dealers were able to make coins.] (trans. A. Burnett)e able to make coins.] (trans. A. Burnett))
  • Alexander Cunningham - Gisbert Cuper - 1703-12-24  + ([The Knight you mention is certainly known[The Knight you mention is certainly known too, but never stays in a fixed place, and I do not cultivate his acquaintance. Nevertheless I have made an effort and met him, and greeted him in your name. He is concerned with describing the coins of the Saxon Kings, which he says he will publish]. (transl. A. Burnett)ays he will publish]. (transl. A. Burnett))
  • Hubert Goltzius - Historiae urbium et populorum insulae Graeciae - Museum Plantin-Moretus  + ([c.1560] - [c.1580] 2 vols Bibliografische[c.1560] - [c.1580] 2 vols</br>Bibliografische referentie: Jan Denucé, Catalogue des manuscrits, 1927, nr. 20</br>De eerste 28 folio's met "Antiqua aliqua monumenta ut hodierno die Romae ..." bevatten tekeningen en zijn op ander papier dan de rest van het handschrift</br>Titel varieert: Antiqua aliqua monumenta ut hodierno die Romae in diversis locis spectantur ad vivum delineataversis locis spectantur ad vivum delineata)
  • Nicolas-Claude Fabri de Peiresc - Jacob Cool - 1609-2-3  + (a retrouvé le memorandum envoyé par Ortelia retrouvé le memorandum envoyé par Ortelianus avec la liste de ses avoirs numismatiques ; il lui envoie une monnaie d’argent de Commode et des bronzes d’Agrippa et de Lucilla ; se propose de faire l’intermédiaire avec un ami qui possède des romaines et serait prêt à échanger ; il a reçu des médaillons d’argent du Levant et aussi un Othon frappé à Antioche- « J’avais perdu de malheur le mémoire que vous m’aviez laissé sur les médailles que vous désiriez recouvrer, comme je vous avais écrit quelques temps y a ce qui m’empêchait de vous y servir comme j’eusse désiré. Mais par bonne fortune je l’ai retrouvé dans mon étude parmi les livres que j’avais fait venir d’Angleterre, parmi lesquels il s’était égaré. Ensuite duquel je vous envoie un Commodus d’argent assez net, avec l’inscription au revers FIDEI COMMODI &c. Et ensemble un M. AGRIPPA, et une LUCILLA e cuivre. Si j’étais assuré que la présente vous fut rendue bien sûrement, comme votre slence passé m’en fait douter, je vous enverrais quelque chose de meilleur. Il y a un mien parent qui s’en ira vous voir à ce printemps s’il plaît à Dieu, lequel y pourra suppléer. Cependant je vous dirai qu’il y a un mien ami lequel a une Julia Pia du revers de MATER SENATVS &c. une Julia Maesa, une Julia Aquilia, et une Barbia Orbiana, toutes grandes en cuivre, et nettes surtout l’Aquilia et l’Orbiana. Mais j’ai de la peine à le faire consentir à s’en défaire. Il est vrai, qu’ayant ouï parler de votre Alexander Mameae battu en Grèce, avec le revers d’Alexandre armé, et en ayant vu l’empreinte que vous me donnâtes, comme aussi de votre Galba d’argent avec la tête de GALLIA, et de votre SISCIA PROBI AVG. En cuivre, il m’a dit de vous écrire que si vous l’en voulez accommoder, il vous accommodera des siennes. C’est pourquoi, si vous me répondez promptement sur cela, ce mien parent les vous porterait en s’en allant de par delà, et retirerait les vôtres par même moyen. Vous y aviserez et en attendant, je vous prierai de m’employer librement en tout ce que me connaîtrez propre, et en faire état assuré. … PS : Depuis j’ai recouvré les empreintes des quatre médailles susdites, il est vrai qu’elles ne sont guère bien venues, même la Masa, vous les verrez et si c’est chose que vous ayez agréable, donnez m’en avis, au plutôt. J’ai reçu du Levant quelques médailles d’arhent, assez curieuses, et ensemble un médaillon d’argent d’Otho battu en Antioche du poids de quatre drachmes fort entier, et sans aucune doute de moderne. « (Leiden,Universiteitsbibliotheek Leiden: MS BPL 2755; Hessels 1887, n° 348, p. 824-825).n: MS BPL 2755; Hessels 1887, n° 348, p. 824-825).)
  • Leonardo Agostini - Carlo Strozzi - 1652-9-28  + (attention : voir idem : lettre du 6 nov. 1652 infra).)
  • Ammonio, Taddeo - Descriptio Musei Tadaei Amonii Prioris Capituli S. Petronii - Bologna, Archivio di Stato - FMC, s. IV, b. 74/734  + (collection de 3423 monnaies en bronze de tous modules, de Pompée à Héraclius, laissée par testament à la Casa dei poveri mendicati de la ville d’Imola ; la collection est estimée en 1713 à la mort de son propriétaire à 1366 scudi de Rome)
  • Occo 1579 by Dionigi Ottaviano Sada, Lodovico Compagni, Leonardo Agostini, and Giovanni Pietro Bellori  + (exemplaire ayant appartenu à Dionigi Ottaviano Sada, Lodovico Compagni, Leonardo Agostini et Giovan Pietro Bellori qui l’ont chacun annoté)
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